Depuis la réalisation des premières unités de voisinage à Ali Mendjeli, il y a douze ans, on n'a jamais pensé organiser la circulation automobile sur les artères de cette mégacité. Avec le nombre impressionnant de voitures et de bus qui traversent ses axes chaque jour, c'est l'anarchie totale, en l'absence des moindres panneaux de signalisations ou autre plaques d'indication. Il faut dire que circuler dans cette ville, notamment dans les intersections est un véritable cauchemar, surtout aux heures de pointe où il n'existe aucune notion de priorité de passage.