- Le Dernier témoin fâche une famille de Seddouk Le livre de Rachid Adjaoud, Le dernier témoin, sorti aux éditions Casbah, n'est pas du goût d'une famille de Seddouk (Béjaïa) qui juge «diffamatoires» certains passages à l'égard d'un des leurs. «Quant aux platanes, la main criminelle d'un maire zélé, qui croyait bien faire, les a remplacés par de minuscules orangers. C'était pour lui un héritage colonial, il fallait donc les raser…». C'est ce passage qui fait réagir des membres de la famille Bessaâ du village Takaâts, convaincus que l'auteur parle de leur «défunt père qui était le maire de Seddouk à l'époque… ». Ils estiment même que l'auteur «est allé plus loin avec des propos graves en traitant notre père d'intégriste», écrivent-ils dans une réaction écrite transmise à notre rédaction. La famille Bessaâ dit réagir pour la «réhabilitation de l'honneur de notre défunt père qui a servi avec abnégation l'ALN comme moudjahid durant sept ans de guerre et officier après l'indépendance avant d'être maire de Seddouk». - L'ANLC réagit aux «révélations» du P/APC de Chlef Dans un communiqué adressé, hier, à la rédaction et signé par son secrétaire général, Halim Feddal, l'Association nationale de lutte contre la corruption (ANLC) «exige l'ouverture d'une enquête par les services compétents (brigades économiques ou parquet)», suite aux «révélations» du P/APC de Chlef, mettant en cause certains élus. «Le président de l'APC de Chlef a fait récemment des déclarations à la radio locale, affirmant qu'il détient des dossiers compromettant certains membres de l'Assemblée communale et qu'il compte les transmettre aux autorités compétentes», lit-on dans le communiqué. Or, est-il souligné, «les autorités concernées restent muettes sur ces déclarations et font preuve d'un laxisme et d'une volonté délibérés pour enterrer cette affaire». Il faut rappeler que le maire de Chlef ( toujours en fonction) avait fait ces déclarations en septembre dernier, suite à un conflit avec la majorité des membres de l'Assemblée communale. - Les voleurs de bétail ne séviront plus Trois personnes, âgées entre 30 et 34 ans, ont été présentées, dimanche dernier, devant le tribunal de Tamanrasset pour association de malfaiteurs spécialisés dans le vol de bétail, a indiqué un communiqué émanant de la sûreté de wilaya. L'affaire remonte au 19 du mois en cours, lorsque les 3 mis en cause s'en sont pris à un maquignon quinquagénaire au marché à bestiaux de Tihagouine, à quelques encablures du centre-ville. Suite à une plainte déposée par la victime qui a pu reconnaître l'un de ses assaillants, une enquête a été ainsi diligentée par la police judiciaire de Tamanrasset. Les investigations ont, par conséquent, mené vers une étable dans la cité Tahaggart-Ouest, communément appelée Chumara, où était parqué tout le cheptel volé. Suite à une perquisition, les policiers ont vite investi le lieu indiqué et réussi à récupérer 13 ovins, précise-t-on auprès de la cellule de communication de la SW. - Plus de 10 millions pour Skywards D'Emirates «Skywards», le programme de fidélité de la compagnie aérienne Emirates, s'est vu attribuer plus de 25 prix internationaux depuis sa création, sacré comme meilleur programme de fidélité des compagnies aériennes. Il entame, aujourd'hui, sa quatorzième année d'existence en présentant de nouvelles expériences et des avantages uniques pour ses membres, dont le nombre a dépassé les 10 millions d'inscrits au cours de l'exercice 2013/2014. Le processus d'adhésion et de cumul de miles au programme Skywards devient de plus en plus rapide et facile, le programme propose désormais une augmentation significative des miles associés à la fréquence de voyages, ainsi les miles des voyageurs en première classe augmentent de 150%, et ceux de la classe affaire de 75%. - Une commune… sans café ! La commune de Sidi Abderrahmane, un village steppique situé à 100 km au sud de Tiaret, détient une particularité bien singulière, depuis que les autorités aient décidé de fermer les quatre seuls salons de thé ou l'on servait du café. Motif invoqué pour la fermeture : les exploitants de ces commerces très fréquentés ne possèdent pas de… licences d'exploitation, que détiennent généralement les moudjahidine. Au-delà de la situation inédite pour un patelin perdu aux portes du désert, on doit se demander si la population de Sidi Abderrahmane s'est impliquée ou non dans la révolution pour prétendre à ce fameux sésame qu'est la licence. A fortiori, que feront les jeunes et les oisifs, à part scruter les horizons… lointains !