- Droits d'auteurs : Plus de 10 000 CD et DVD saisis Les inspecteurs de la direction régionale de l'Office national des droits d'auteurs (ONDA), en collaboration avec les services de la 13ème sûreté urbaine, ont procédé, mercredi aux environs de 17 h, au démantèlement d'un atelier clandestin, sis rue d'Oujda, spécialisé dans la reproduction illégale de CD et DVD. 9500 supports reproduits illégalement et 5000 autres vierges ont été récupérés lors de cette opération. Un jeune de 22 ans ayant transformé son domicile en atelier clandestin a été arrêté. Parmi les CD et les DVD gravés, certains contenaient des films X. Les services de la police ont saisi 31 graveurs, une unité centrale, trois équipements de reproduction, 28 bouteilles d'encre. Cette opération vient en application du protocole d'accord instauré en 2012 entre la DGSN et l'ONDA afin de lutter efficacement contre la contrefaçon dans le domaine culturel et artistique. Un phénomène qui ne cesse de prendre de l'ampleur malgré les mesures prises pour contrecarrer la piraterie artistique et la contrefaçon. - Cyber-criminalité : Il soutirait de l'argent à sa victime Un homme a été arrêté par les services de la police judiciaire de la 7ème sûreté urbaine pour atteinte à la vie privée, menaces et escroquerie. La plainte déposée a permis aux policiers d'identifier l'auteur et de saisir un micro ordinateur, des photos et des clés USB. Le mis en cause menaçait sa victime à qui il soutirait de l'argent. Ces affaires d'atteinte à la vie privée sont monnaie courante. Les éléments de la sûreté d'Oran ont traité une vingtaine d'affaires en 2014 dont 80% relèvent du crime classique et sont généralement des affaires de menaces. - Santé : Mers El Kébir privée de pharmacie de garde Contrairement aux autres communes de la daïra d'Aïn El Turck, il n'existe aucune pharmacie de garde dans la commune de Mers El Kébir. Les deux seules officines existantes exercent de jour mais n'assurent pas de permanence la nuit. Les citoyens, dans l'obligation d'acheter des médicaments le soir tombé, doivent se rendre au chef-lieu. Déçus, ces mêmes citoyens, ne comprennent pas cet état de fait qui les pénalise grandement, notamment en cas d'urgence. L'appel lancé, à maintes reprises, pas ces derniers est resté lettre morte.