Baïnem : L'accès principal de la forêt est impraticable L'une des plus grandes forêts de la capitale accuse une dégradation continue de la chaussée. En effet, la route qui mène de Beni Messous vers Baïnem est impraticable, engendrant ainsi des ralentissements au niveau de l'entrée. Selon les habitants de la cité des 600 Logements de Baïnem, la route est dans le même mauvais état depuis plusieurs années. Un jeune père de famille rapporte que la situation a empiré depuis deux ans. Crevasses, ornières et nids-de-poule se comptent par dizaines. « Avec la rentrée scolaire, la route de la forêt permet de gagner entre 20 et 45 minutes le matin. Mais ce que nous gagnons en montée dans les virages, nous le perdons dans un tronçon d'un kilomètre, en slalomant et en jouant du volant afin d'éviter des risques de crevaison ou même d'abîmer le véhicule», confie Salah, père d'un enfant. L'intervention des services de la commune de Aïn Benian est requise par les résidents. Ces derniers demandent un nouveau bitumage et également de l'éclairage avant l'arrivée de la saison des pluies, qui va dégrader encore plus la chaussée. Heuraoua : Absence de structures sportives En dépit des opérations de relogement qui ont multiplié le nombre d'habitants à Heuraoua, les jeunes de cette commune ne bénéficient quasiment d'aucune prise en charge dans le domaine du sport et des activités de loisirs, car la commune est dépourvue de ce genre de structures. «Notre commune n'est pas dotée de structures sportives telles que les stades et les salles de sport. Nous sommes obligés de nous déplacer dans les autres communes», déplorent des jeunes de Heuraoua. «Nous demandons aux responsables de la commune de prendre en charge ce volet, d'autant plus que le nombre de jeunes à Heuraoua est passé du simple au double», concluent-ils.