Sahara Occidental : Le CopeRasd réaffirme son soutien aux gouvernement et peuple sahraouis Dans un communiqué sanctionnant une séance consacrée à la présentation de son nouveau conseil d'administration, le Conseil péruvien de solidarité avec le Sahara occidental (CopeRasd) a dévoilé, samedi, ses objectifs qui s'articulent autour de 10 axes, dont le principal est de faire connaître la juste cause sahraouie via les médias, réseaux, conférences, etc. Dans le deuxième axe, le CopeRasd réaffirme son soutien aux gouvernement et peuple sahraouis dans leur combat pour le recouvrement de leurs territoires occupés par le Maroc depuis plus de 40 ans (1975). L'association péruvienne s'est engagée également à «promouvoir la reconnaissance de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) par les Etats qui ne l'ont pas encore fait». Outre son engagement pris pour «dénoncer les violations des droits de l'homme et la torture commises par l'occupant marocain contre le peuple sahraoui dans les territoires occupés», le CopeRasd compte adresser un appel à la communauté internationale et aux Nations unies pour faire pression sur le Maroc en vue d'organiser un référendum d'autodétermination au Sahara occidental, conformément aux résolutions de l'ONU. Iran : L'ex-président Rafsandjani est décédé L'ex-président iranien, Akbar Hachémi Rafsandjani, l'un des hommes-clés de la République islamique, est mort hier à l'âge de 82 ans à Téhéran après un malaise cardiaque, selon les agences de presse Isna et Fars. M. Rafsandjani, président de 1989 à 1997, avait été hospitalisé en urgence dans l'après-midi à l'hôpital Shohadaa, dans le nord de Téhéran, selon un de ses proches, Hossein Marashi, cité par les agences. M. Rafsandjani avait été un proche collaborateur de l'imam Khomeiny, fondateur de la République islamique d'Iran en 1979. Il a occupé différentes fonctions avant de devenir président de la République en 1989 jusqu'en 1997. Depuis, il occupait le poste de président du Conseil de discernement du régime, chargé de conseiller le guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei, et de trancher les différends entre le Parlement et le Conseil des gardiens de la Constitution. Ces dernières années, son influence au sein des institutions de l'Etat avait fortement diminué. En 2013, le Conseil des gardiens de la Constitution avait rejeté sa candidature à l'élection présidentielle en raison de son âge avancé.