Elle est médecin, mais ne soigne pas les hommes Un homme, qui s'est présenté dans un cabinet médical situé à Aïn Nâadja, à Alger, a eu l'amère surprise de ne pas se faire ausculter. La raison ? Le médecin, une dame, «ne soigne pas les hommes». Elle a indiqué qu'elle ne prend en charge que «les enfants et les femmes». Pourtant, elle n'est ni pédiatre ni gynécologue. Et le patient, qui a frappé à la porte, n'a même pas eu droit à «un visage». C'est derrière un interphone qu'une assistante informe le «visiteur» que sa patronne ne soigne pas les hommes. Pourtant, dans le quartier, une grande affiche indique «Médecine générale, spécialiste en diabétologie et maladies allergiques». Ce n'est qu'une fois devant la porte du cabinet qu'une petite mention indique : «Consultation femmes et enfants». Et si le malade était dans un état grave ? Un homme retrouvé mort dans un verger à Boufarik Mercredi, vers 8h, des passants ont alerté la Gendarmerie nationale quant à la présence d'un cadavre au bord d'un verger, pas loin de Boufarik. Il s'agit de B. Abdelkader, âgé de 50 ans, journalier de son état, habitant la petite bourgade de Saadalia, du côté de Benchabane, commune de Ben Khelil, wilaya de Blida. La dépouille a été transférée à la morgue de l'hôpital de Boufarik et une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de sa mort. ONDA : un centre médical et un studio d'enregistrement en projet L'Office national des droits d'auteur et droits voisins projette d'ouvrir un centre médico-social ainsi qu'un studio d'enregistrement pour ses adhérents. Le centre médical sera implanté dans un immeuble situé à Hussein Dey (Alger). Affectée auparavant au ministère de la Culture, la bâtisse sera réaménagée par l'ONDA en vue de sa nouvelle affectation. La structure sanitaire devrait être active à la fin de l'année 2017. Un deuxième projet est en cours pour l'ouverture d'un studio d'enregistrement pour les adhérents de l'office. Situé à Bougaâ (Blida), ce studio comprendra également une résidence pour accueillir les artistes venant de l'intérieur du pays. L'historien Gilles Manceron à Sétif Auteur d'une quinzaine d'ouvrages de grande valeur, l'historien français Gilles Manceron, un spécialiste de la colonisation, animera à la maison de la culture de la capitale des Hauts-Plateaux, aujourd'hui à partir de 14h, une conférence, «8 Mai 1945 en Algérie, un crime méconnu, perspectives de reconnaissance». La communication sera suivie d'un débat. Organisé sous l'égide de la fondation du 8 Mai 1945, la manifestation sera ponctuée de remise de distinction à deux journalistes et trois écrivains de Sétif. Une vente-dédicace des derniers ouvrages de trois auteurs (Mansour Hamouda, Saad Taklit et Kamel Beniaiche) bouclera le plus important rendez-vous culturel du début d'année à Aïn Fouara, ayant tant besoin d'espace d'échanges et de discussions 23 000 enfants migrants en danger en Grèce et dans les Balkans Plus de 23 000 enfants migrants, confrontés en Grèce et dans les Balkans à une vague de froid, risquent des infections respiratoires, «voire la mort par hypothermie», a mis en garde hier le Fonds de l'ONU pour l'enfance (Unicef). «Sans aucun signe d'accalmie des conditions météo extrêmes et des tempêtes qui balayent le centre, l'est et le sud de l'Europe, les enfants réfugiés et migrants risquent des infections respiratoires et autres maladies graves, voire la mort par hypothermie», a affirmé l'Unicef dans un communiqué. En Grèce et dans les Balkans, en particulier, environ 23 700 enfants réfugiés et migrants, dont des nourrissons et des nouveau-nés, la plupart de Syrie, d'Irak et d'Afghanistan, sont toujours bloqués, a-t-il ajouté.