- Tronçon, Souachet- Rouiba : Les commerçants gênent la circulation Le tronçon de route qui relie la localité de Souchet à Rouiba à partir du CW 119 est constamment obstrué par les vendeurs informels, qui installent leurs marchandises sur le bas-côté de la route. Résultat : un goulot d'étranglement se forme à cet endroit et oblige les automobilistes à ralentir. L'embouteillage est accentué par des ralentisseurs, qui ponctuent par leur présence improvisée toute la route. Les automobilistes s'arrêtent pour faire leurs emplettes, ce qui crée une indescriptible anarchie. Signalons que deux ronds-points gigantesques ont été réalisés sur ce tronçon de route, obligeant les automobilistes, non seulement à ralentir, mais également à faire de grands tours pour franchir ces ronds-points aux diamètres disproportionnés. Les marchands informels qui ont élu domicile dans cet endroit, proposent à la vente des fruits et légumes et du lait de vache. Ils ne prennent même pas la peine de s'éloigner quand les voitures des services de sécurité s'approchent de leur emplacement. Quand ces commerçants sont acculés par les services de sécurité, ils changent de place, en s'éloignant de quelques dizaines de mètres seulement. Ils s'installent aux abords d'un tronçon de route qui mène de Souachet à Rouiba. - Stations de transport urbain : Les toilettes publiques fermées Les toilettes publiques implantées au niveau de plusieurs stations de transport urbain de la capitale sont fermées depuis plusieurs mois. A Quahouet Chergui, à l'est de la capitale, ce mobilier urbain, d'une grande utilité pour le confort des usagers, a été réalisé dans le cadre des travaux d'aménagement de la station, mais il n'a jamais été mis en service. Ce qui pénalise sérieusement les voyageurs, qui ne comprennent pas les raisons de la fermeture de ces toilettes, les seules existantes dans tous les environs. Outre les dépenses que ce mobilier urbain a occasionnées, sa réouverture permettra de créer des postes d'emploi. Faut-il rappeler, par ailleurs, que la quasi-totalité des toilettes publiques réalisées dans différents endroits de la capitale sont fermées, notamment à Aïn Taya, Rouiba, Réghaïa ou encore Aïn Benian.