L'expertise internationale en formation Les inscriptions à l'Institut des sciences expertales d'Alger ont déjà commencé. Affilié à l'Ordre des experts internationaux (Suisse), cet établissement propose des formations d'expert international dans plusieurs domaines. Les spécialités proposées pour le moment sont : management du risque industriel, audit financier, foncier et évaluation immobilière, management du sport et exportation. «On forme des experts internationaux titrés, validés par l'Ordre des experts internationaux», assure M. Boumaâza, cofondateur de l'institut en question. Et de poursuivre : «Notre but est de proposer des formations à même de contribuer au développement du pays dans différents domaines.» Comme projet, l'institut prévoit une formation d'expert en gestion des déchets. Tous les cours se font durant 4 jours/mois, avec possibilité d'hébergement. Pour s'inscrire, contacter l'Institut des sciences expertales d'Alger : Tel : 0771 11 41 22 / 0550 47 32 63. M. B. Cité Benamor (Ouled Yaïch) Les nouveaux habitants de la cité Benamor, dite «Mordjene» (Ouled Yaïch), ne savent plus à quel saint se vouer. Leurs nombreuses requêtes adressées aux autorités concernées depuis une année sont restées sans suite à ce jour ! «L'éclairage public fait défaut, au moment où, à quelques encablures des habitants bénéficient de cette commodité, provoquant une insécurité dans ce nouvel îlot d'habitations», lit-on dans une lettre adressée par les habitants de cette cité. Ces derniers évoquent d'autres problèmes qui ne sont toujours pas réglés : «Le goudronnage du quartier commence à 200 mètres de nos demeures et n'a pas été terminé, nous obligeant à patauger dans la boue en hiver et à subir les aléas de la poussière en été. Le bitumage devra être suivi de l'installation d'avaloirs pour l'évacuation des eaux de ruissellement. Aussi, le ramassage des ordures ménagères s'arrête lui aussi à la limite de la partie goudronnée, une situation qui a engendré un amoncellement de gravats et autres détritus en face de nos demeures.» M. B. Bureau d'études public Urbab : Un avenir incertain pour les salariés Des chauffeurs qui deviennent cadres du jour au lendemain, une trésorerie qui est à néant, un plan de charge quasi absent…Voilà quelques caractéristiques de l'Urbab, qui font craindre les travailleurs pour leur avenir. «C'est vraiment inadmissible ce qui se passe dans notre entreprise. C'est carrément la loi de la jungle qui y règne», témoigne une employée. Son collègue poursuit : «Un cadre nous menace et se permet de nous sanctionner abusivement sous prétexte qu'il connaît le fils d'un ministre, il le dit haut et fort, c'est grave!» Les employés de l'Urbab demandent à leur tutelle d'intervenir pour sauver leur entreprise de la faillite. «On n'a plus de plan de charge, le mois dernier c'est la banque BDL qui nous a prêté de l'argent pour le payement des salariés. Ce mois, on risque de ne pas avoir de salaire vu que les comptes de l'entreprise sont vides», ajoute notre source. M. B.