La chirurgie laparoscopique en débat Le 15e Congrès national de chirurgie laparoscopique se déroule aujourd'hui et demain (du 07 au 08 octobre 2017) à l'Institut du rein de Blida (CHU Frantz Fanon). Selon un communiqué de presse émanant de l'université Blida 1, plus de 400 médecins spécialistes et chercheurs, algériens et étrangers, prendront part à cet événement scientifique. Des travaux dans le domaine de la chirurgie laparoscopique et concernant notamment les urgences chirurgicales et gynécologiques, l'hystérectomie, l'hystéroscopie, la chirurgie du côlon, ainsi que la chirurgie oncologique seront présentés par d'éminents professeurs algériens et étrangers sous forme de vidéo- forum, communications libres et posters.
165 kg de kif traité saisis à Ghardaïa Agissant sur informations fiables faisant état d'un passage imminent de drogue à travers la wilaya de Ghardaïa, un détachement du secteur militaire de cette région, en coordination avec les éléments de la section de sécurité et d'intervention (SSI) de la Gendarmerie nationale ont immobilisé, mercredi matin, vers 6 h30mn, au niveau de la limite frontalière entre les wilayas d'El Bayadh et Ghardaïa, deux véhicules. L'intervention a eu lieu sur la RN107, entre Brezina (w. d'El Bayadh) et Metlili (w.de Ghardaïa). Le 1er véhicule à avoir été immobilisé et son chauffeur et son accompagnateur neutralisés, Renault Symbol, servait d'éclaireur. Le second véhicule, un fourgon Renault Boxer, n'avait à son bord que le chauffeur. Lors de la fouille du second véhicule et bien dissimulés dans les portières et sous les sièges, une quantité de 165 kg de kif traité a été découverte, ainsi que plusieurs téléphones portables et une certaine somme d'argent en monnaie nationale. Présentés devant le procureur de la République près le tribunal de Ghardaïa, ilsont été déférés devant le magistrat instructeur, qui les a placés sous mandat de dépôt et écroués à la prison de Châabet Ennichène de Ghardaïa. La quantité de drogue et les véhicules saisis ont été remis aux services des Douanes. 8 nouveau-nés morts en 24h dans un hôpital public en Inde Au moins huit nouveau-nés sont morts en 24h dans un hôpital public de l'Etat de l'Assam (nord-est) en Inde, a annoncé hier un responsable hospitalier. Les nouveau-nés sont décédés à l'hôpital universitaire Fakhruddin Ali Ahmed, dans le quartier de Barpeta, à quelque 102km à l'ouest de Dispur, chef-lieu de l'Assam. «Cinq sont morts ce mercredi et trois ce jeudi», a indiqué le responsable hospitalier, ajoutant que «c'est juste une coïncidence que ces nouveau-nés, âgés d'un jour à deux mois, soient morts dans une période de 24 heures». Bien que les autorités aient écarté la piste d'une négligence médicale, affirmant que la mort de ces nourrissons avait été causée par une asphyxie néonatale (une pathologie résultant d' un manque d'oxygène), certains habitants de la région affirment que les infrastructures insuffisantes et la négligence de l'hôpital sont responsables de ces morts. Selon les médecins, les huit nouveau-nés étaient dans un état critique et de faible poids, et se trouvaient donc dans l'unité de soins intensifs néonatale (USI). Un mur dangereux à Boufarik Un mur menace de s'effondrer à tout moment au boulevard Mohamed Zidane, à Boufarik. En effet, il s'agit du mur extérieur, long de presque 20 m, de la salle de cinéma Le Royal. Il risque de céder à tout moment et les autorités concernées semblent indifférentes par rapport à ce danger, et ce, malgré la sonnette d'alarme tirée par des riverains. Le pire est que beaucoup d'écoliers de l'école Oum Salama et des collégiens du CEM Ibn –Quoteiba sont contraints de passer régulièrement par un chemin qui est à quelques mètres seulement de ce mur. C'est la mort certaine qui les guette si jamais le mur venait à céder. Même les voitures courent le même danger, car ces dernières sont souvent en stationnement sur le trottoir en face du mur en question.