Qui, parmi les citoyens d'Aïn Beïda, n'a pas remarqué la grande lézarde qui parcourt le mur de l'école Loucif Mebarka, du côté de l'avenue Ben Boulaïd ? Certes, l'établissement scolaire en question a été érigé durant les années 1860, ce qui fait ou explique sa vétusté, mais rappelons quand même que l'école a eu droit à des travaux de rénovation, il y a à peine quatre années. Alors, comment se fait-il que ce mur extérieur menace ruine ? Le risque est double puisque, si effondrement il y a, ou bien ce sont les écoliers qui vont payer, puisque le mur en question appartient à une salle de classe, sinon des passants, si jamais l'écroulement se fait à l'extérieur. Dans un cas comme dans l'autre, il y a danger imminent pour que périssent de pauvres gens, et ce malgré l'écriteau qu'on a apposé sur les deux murs extérieurs de l'école. L'APC devrait intervenir pour éviter un effondrement aux conséquences désastreuses.