Certaines bâtisses, construites à la fin du XXe siècle, commencent à donner des signes de fatigue. C'est le cas de l'école Loucif Mebarka, située en plein centre-ville de Aïn Beïda. Pourtant, cette dernière a connu de grandes opérations de réhabilitation et de consolidation. N'empêche, la vétusté est bien là et la cause en est sûrement l'érosion due au temps. Ce qui est remarquable par-dessus tout c'est la reconstruction d'anciennes bâtisses, cédées à de nouveaux propriétaires. Ainsi, on voit un peu partout s'élever de nouveaux édifices à un ou deux étages, et ce au niveau des grandes rues, comme la rue Benboulaïd, qui s'ouvre sur la route de Constantine ou les boulevards du Nord et de l'Ouest, baptisés aujourd'hui Mansouri et Tayeb Kanouni.De nouvelles bâtisses en somme qui donnent un air jeunot à la ville des Haractas. En parallèle, certains édifices publics ont fait leur mue, comme l'ex- cinéma Règent, l'église ou l'ancien marché couvert.