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La livraison des 68 LSP tarde
Taskeriout
Publié dans El Watan le 19 - 04 - 2007

Le projet de réalisation de 68 logements sociaux participatifs (LSP), entamé en décembre 2004, est à ce jour non achevé puisque affichant un taux d'avancement de 40%. D'après les futurs acquéreurs de ces logements, aucun motif convaincant, quant aux raisons du gel de ce projet, ne leur a été donné par le promoteur qui n'est autre que l'agence foncière, ex-AIGRFU.
Ce programme, qui comprend 7 blocs, est réparti en deux tranches. L'une d'elles qui englobe 3 blocs de 28 logements est à ce jour non entamée et ne figure que sur les plans, au grand dam des demandeurs en attente. L'autre tranche de 4 blocs de 40 logements est suspendue quelques mois après son démarrage en 2004 avec un taux d'avancement qui n'excède pas les 60 %. Les maintes tentatives entreprises par les futurs bénéficiaires auprès de l'agence foncière pour connaître les raisons de l'arrêt des travaux ont laissé ces derniers dans le flou. Après une année de l'arrêt du projet en mai 2005, les acquéreurs, selon l'un deux, ont été saisis par l'agence foncière pour entamer la procédure de crédit bancaire (Cnep). « Dans l'espoir de voir enfin le projet redémarrer, nous avons répondu favorablement à cette demande d'autant plus que le promoteur a expliqué qu'il ne compte que sur ce nouvel apport financier pour pouvoir faire avancer le chantier », nous dit un acquéreur pour qui cette explication s'est avérée un « leurre ». « Car, si réellement il y avait un problème d'argent, comment se fait-il qu'à ce jour rien n'a été entrepris pour reprendre les travaux, d'autant plus que l'agence a encaissé, outre les 80 % d'apport personnel, une tranche de l'aide de la Caisse nationale du logement », ajoute notre interlocuteur. Les bénéficiaires qui n'ont pas cessé de crier leur désarroi se sont retrouvés dans l'obligation de s'acquitter chaque mois, depuis septembre dernier, des intérêts qui découlent du crédit bancaire. En janvier dernier, ils se sont rapprochés de nouveau auprès du promoteur pour s'enquérir de la situation. « Ils nous ont demandé, une nouvelle fois, de patienter en brandissant une autre promesse. La raison avancée, cette fois-ci, est d'ordre organisationnel qui coïncide avec la dissolution de l'agence intercommunale (AIGRFU) et son remplacement par l'agence de wilaya. De ce fait, la remise en branle de se projet ne dépendrait que de la réorganisation de la nouvelle administration », nous a déclaré leur représentant, M. Ouazzen. En ne voyant rien venir jusqu'à la mi-mars, les acquéreurs, qui ont à nouveau réagi, se disent surpris d'entendre un nouveau motif qui explique le refus de l'entrepreneur engagé dans ce projet de reprendre les travaux. Lequel entrepreneur, selon eux, exige des dommages et intérêts pour toute la période du gel du chantier. « Avec l'expiration du délai de réalisation, il y a plus d'un mois, l'unique issue pour sortir de cette situation inextricable est de recourir à la justice », estime un bénéficiaire qui préconise, outre « l'achèvement du projet et la restauration de ce qui a été endommagé par les intempéries », de réclamer « des pénalités de retard comme il est stipulé dans le contrat ».

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