Les habitants de la cité BOTTO, notamment ceux résidents au prolongement de la rue Moulay Nadjem, une rue secondaire au boulevard Kaid Ahmed, et ceux résidents à Zaaroura et Oued Ettolba, cités les plus populeuses de Tiaret, vivent un vrai calvaire et tentent d'alerter les responsables concernés pour la pose de ralentisseurs à même de contraindre ces fous du volants, notamment les propriétaires de bus des lignes 5 et 13, à respecter le code de la route. Ces transporteurs travaillent non seulement sur des lignes autres que celles prédéfinies sur le tracé de la direction des Transports, mais agissent comme s'ils participent journellement à un rallye. Dès qu'ils abordent le virage au carrefour Mechraa-sfa, ils bifurquent en bas dans les dédales d'une ruelle, la rue Moulay Nadjem, pour éviter les encombrements de la voie, gagner du temps mais sans s'embarrasser de scrupules en renversant à plusieurs reprises d'innocents enfants qui n'ont même pas ou aller jouer. La demande faite il y a des mois et qui a transité par l'APC, avait reçu l'aval du maire mais depuis, rien n'est fait. La pose de ralentisseurs dans ces cas précis obéit-elle à une enquête préalable ou est-elle induite par les comportements souvent justifiés des citoyens qui, après chaque accident, sortent exprimer leur mécontentement en brûlant des pneus ?