Il en était question avec insistance ces derniers temps. C'est désormais officiel : le ministre de la Jeunesse et des Sports, El Hachemi Djiar, a levé la suspension qui frappait le Dr Mohamed Bouabdallah, président de la Fédération algérienne de tennis (FAT). En désaccord avec son ministre de tutelle d'alors, le professeur Yahia Guidoum, le président de la FAT et son bureau fédéral avaient été suspendus pour une durée de quatre ans. Bouabdallah n'a jamais accepté la décision pour cause « d'irrégularités dans la procédure et la méthode peu cavalière de la tutelle. Les bureaux de la Fédération ont été occupés de manière illégale. On ne nous a pas laissé non plus présenter notre bilan dans les règles. » La levée de suspension connaîtra-t-elle des suites sur le plan fonctionnel ? C'est ce qu'espère maintenant le Dr Bouabdallah.