Une agence CNAS méprisant A l'agence CNAS, sise au 126, rue Didouche Mourad, les assurés n'ont pas intérêt à interpeller le directeur adjoint, bien mis avec son costume-cravate, pour régler les petits problèmes rencontrés dans le service à la tête duquel il a été placé, pour veiller à la bonne marche des affaires du contribuable. En effet, l'humble quidam, se voyant méprisé par les préposés aux guichets, s'est adressé au dit responsable et s'est vu répondre par celui-ci qui le toisait :« Mais qui êtes-vous pour me héler ainsi ? », le laissant pantois, alors que c'était lui qui l'avait appelé, le ticket faisant foi. Et comble de laisser-aller et de laxisme, aucun employé ne voulut prendre en charge ladite assurée, dont le tour était arrivé, n'était l'intervention du chef de service qui a dû user de psychologie pour « faire accepter » à ses subalternes de prendre en charge la pauvre assurée. La CNAS n'est-elle pas un service public mis justement au service de ce public, qui est déjà assez malmené sans qu'on lui en rajoute ? Le wali reconnaît le rejet de la ligne bleue Le wali d'Alger, Mohamed Kebir Addou, a reconnu « le rejet par les usagers de la rocade Sud d'Alger de la ligne bleue » dont l'application est entrée en vigueur le 6 octobre 2007. Il a rappelé à cette occasion que « la ligne bleue est en phase expérimentale pour une période de trois mois », ajoutant qu'une évaluation sera faite par la suite afin de trancher sur son maintien ou pas. Si la « nouvelle ligne s'avère efficace elle sera gardée », a-t-il souligné. Quant à la verbalisation des citoyens non respectueux des consignes de cette ligne, le wali a affirmé qu'elle « est nécessaire pour obliger les gens à la respecter ». L'histoire d'un colis « désossé » à Sétif Un colis ayant fait le trajet Las-Palmas (Espagne)-Sétif via certainement Alger a, durant son voyage, perdu du poids. Des mains « invisibles » ont, le moins qu'on puisse dire, « désossé » le paquet envoyé par Rabah B. à son beau-frère. Ne se doutant de rien, le destinataire contacte son proche pour l'informer de l'arrivée du paquet et de son contenu. A la grande surprise de l'envoyeur, son « bien » contenait d'autres objets non énumérés par son interlocuteur. Celui-ci se rapproche des responsables du service des colis d'Algérie Poste de Sétif pour leur faire part de la « mésaventure ». Ce client qui attend toujour une suite à la réclamation déposée le 6 octobre. Les cartes d'embarquement bientôt dématérialisées Les cartes d'embarquement papier à bande magnétique, distribuées lors de l'enregistrement aux comptoirs des aéroports, vivent peut-être leurs dernières années. L'Association internationale du transport aérien (IATA), qui représente plus de 240 compagnies aériennes, soit 94% du trafic, souhaite passer à la carte d'embarquement dématérialisée sur mobile. Concrètement, les compagnies aériennes enverront à chaque passager équipé d'un téléphone, PDA ou smartphone, un MMS livrant un code-barre contenant les informations relatives à l'embarquement. Il suffira alors au passager, avant de monter dans l'avion, de présenter son combiné devant un lecteur portatif dédié. Les assassins présumés d'un étudiant à Jijel arrêtés Les services de la police judiciaire de Jijel ont réussi à mettre la main sur trois individus présumés d'être les auteurs d'un crime. Ainsi, 48h après la découverte du corps d'un étudiant âgé de 34 ans, samedi matin, près du lycée Kaoula Tounès de Jijel, la police judiciaire a entamé ses investigations auprès des proches et des amis de la victime tuée par des coups de couteau au niveau du thorax. C'est le portable Nokia 1110 volé à la victime qui a permis de remonter vers la piste des présumés auteurs du crime. En appelant le numéro du téléphone de la victime, les policiers ont eu au bout du fil, une personne qui avait acheté le portable auprès de trois personnes originaires du quartier El Akabi. Appréhendés, les trois prévenus ont reconnu être les auteurs du forfait, ce qui a permis la récupération de l'arme du crime. Les trois personnes arrêtées devaient être présentées hier après-midi, devant le procureur de la République près le tribunal de Jijel.