Des chaussures pas comme les autres A la faveur d'une patrouille de routine opérée au souk hebdomadaire de la daïra d'Ibn Ziad, des policiers ont découvert, chez un vendeur à la sauvette, un lot de chaussures sur lesquelles était imprimé un logo assez stupéfiant : le nom d'Allah. Interrogé sur la provenance de ces chaussures, le vendeur âgé de 23 ans, et répondant aux initiales de D. K., répondit qu'il s'était approvisionné de l'un des plus grands marchés de l'Est du pays, où cette marchandise s'écoulait par containers entiers, si l'on en croit cette source d'informations. D'où la question suivante : comment de telles quantités ont pu, sans encombre, parvenir jusqu'à nos souks ? Lors de sa présentation au parquet de Constantine, le magistrat instructeur a certainement tenu compte de ce point obscur et laissé le prévenu en liberté provisoire. Par ailleurs, il est à noter que ces mêmes services ont mis fin, en fin de semaine, aux agissements d'un jeune de 22 ans reconnu comme étant l'auteur d'une dizaine de vols par effraction. Une partie du butin a été récupérée par les éléments de la sûreté d'Ibn Ziad. Présenté au tribunal correctionnel de Constantine, le prévenu a été placé en détention préventive. Un chacal sème la panique à Akbou C'est un fait divers tout à fait inhabituel que le village d'Ighram, un chef-lieu de commune limitrophe d'Akbou, a vécu ce jeudi matin. Un chacal probablement enragé s'est introduit dans un quartier du village, avant de s'attaquer à tous ceux qui eurent le malheur de croiser sa route. L'attaque du canidé a créé une panique indescriptible et un état d'alerte, rarement vécus dans ce paisible village qui surplombe la haute vallée de la Soummam. Huit personnes ont tout de même été blessées avant que la bête ne soit tuée par des villageois accourus de toutes parts. Les malheureuses victimes ont été promptement secourues et emmenées aux urgences de l'hôpital d'Akbou pour recevoir les premiers soins et les vaccins nécessaires en pareil cas. Le diktat des commerçants à Bab Ezzouar Les propriétaires des locaux commerciaux de la cité du 5 Juillet, à Bab Ezzouar, squattent des superficies bien au-delà de ce qui leur est signifié sur leur acte. Pour marquer leur territoire, chacun installe soit des abris stores aussi longs que possible devant leurs magasins, soit la pose de panneaux de bois, des frigos congélateurs, des tables et des chaises transformant les trottoirs en terrasse de café et de restaurants. Il y a ceux qui étalent leurs produits sur la moitié du trottoir. Les règles et pratiques de l'hygiène laissent beaucoup à désirer, une vraie catastrophe notamment, en ce qui concerne certains cafés et restaurants où il n'existe même pas de sanitaires. Une question se pose : comment ont-ils eu l'aval des services concernés pour exercer ? A l'hôpital de Douéra, on vole même les morts... C'est une jeune fille terriblement choquée qui est venue hier raconter l'innombrable vol dont a été victime sa défunte mère alors qu'elle était dans son lit de mort à l'hôpital de Douéra… En effet, la veille, qui n'est plus de ce monde, a été abjectement délestée de ses bijoux, le 26 août dernier, dans cet établissement où elle avait été admise la veille. La famille de la défunte a été d'autant plus surprise que la direction de l'hôpital lui avait signifié, sèchement, d'aller déposer plainte à la police ! Ce qui fut fait et avec la preuve accablante que la vieille de 95 ans avait été belle et bien volée. En effet, l'infirmière, qui a enveloppé la regrettée dans le linceul, a témoigné devant la police que les bijoux qu'elle portaient la veille avaient mystérieusement disparu. Comme quoi, même les morts n'échappent pas aux rapaces ! Renault d'El Biar : Logan : c'est pas logique ! A l'agence Renault d'El Biar, même si vous payez rubis sur l'ongle votre facture, vous n'en sortirez pas forcément avec votre véhicule clé en main ! Cette mésaventure a été vécue par Tebib Sid Ali, qui, après avoir réglé intégralement la valeur de sa Logan auprès de l'agence, s'est vu signifier, stupéfait, que sa voiture a été tout simplement… vendue ! Sans rire et sans la moindre excuse, le préposé à la clientèle a invité le malheureux client à choisir un autre modèle ! Pour cause, le stock des voitures comme celle qu'il a choisie a été épuisé. La sienne, elle a été peut-être « refilée » à quelqu'un qui a la main très généreuse… C'est dire que chez Renault Logan : c'est pas tout à fait logique comme le proclame la pub.