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Kamel Bouchama. Ancien ministre
« Le FLN vit peut-être ses derniers moments »
Publié dans El Watan le 16 - 02 - 2008

C'est un enfant du FLN qui a passé la majeure partie de sa vie dans le vieil appareil politique. Adolescent, il était déjà dans les cellules du parti à gravir les échelons et occuper des postes de responsabilité. Aujourd'hui, Bouchama qui sort son dernier livre Le FLN ou... La refondation, est dépité par la situation peu glorieuse dans laquelle s'est enlisé le plus vieux parti politique... Il en parle rageusement.
De prime abord, la question qui nous vient à l'esprit est la suivante : « Qui disait, il y a quelque temps, que Kamel Bouchama allait nous surprendre avec une sortie pareille ? » Car, écrire un livre de cette propension et d'une telle fermeté en analysant les désillusions d'une formation politique dans laquelle il a passé la majeure partie de sa vie, pour arriver enfin à des propositions jusque-là « irrecevables » car considérées comme « tabous », relève si ce n'est de l'aventure, en tout cas de l'audace qui a souvent manqué à nos responsables.
Vous avez entièrement raison de poser une telle question. C'est votre droit, en même temps que votre devoir de journaliste qui doit constamment informer, expliquer et convaincre les masses, en allant jusqu'à exhumer certaines arcanes pour les présenter comme des preuves de situations par trop pénibles et révélatrices de crises latentes au sein d'un système qui n'a pas fini de se désagréger. Ainsi, je ne vois pas pourquoi cet étonnement après la parution d'un livre, somme toute naturel pour moi et pour ceux qui ont arpenté les difficiles sentiers du FLN et qui ont grimpé ses côtes, les plus raides, pendant des années. En effet, mon livre est le produit d'un constat accablant — comme je le souligne — qui démontre la situation critique à laquelle nous sommes arrivés aujourd'hui dans un parti à qui nous avons subtilisé toute son essence et son respect. Avant, on caressait toujours et tout le monde dans le sens du poil, je vous l'accorde, parce qu'avant, nous nous gargarisions de la devise suivante : « Les chefs ont toujours raison ! ». Aujourd'hui, deux logiques me poussent à aller au-devant des événements et entreprendre ce travail que je considère comme une action de « salubrité publique ». La première étant qu'il est du devoir du militant que je suis de m'amender en réagissant, sans trop tarder, au regard d'un malaise, plus grave encore, d'une débâcle consommée au niveau d'un parti qui aurait dû être entouré d'un grand intérêt et d'une agissante considération. Notre parti va à la dérive. Aucune action concrète ne nous autorise à espérer une certaine résurrection de ses structures qui se meurent. Aucune stratégie ne nous permet de croire à cet avenir radieux. L'échec est là, présent, nous narguant tous les jours pour nous rappeler qu'entre nous et le sérieux il y a une grande distance qui nous sépare.
A qui imputez-vous cette situation ?
Le FLN vit des moments pénibles que des « pharisiens » lui ont imposés. Il vit peut-être ses derniers moments, dans une atmosphère délétère, où se mêlent de choquantes hâbleries aux regrettables provocations et aux actes délictueux sous l'œil indifférent ou complaisant de hauts responsables. Comment ne pas réagir quand on sait pertinemment qu'il y a eu des abus, au niveau du parti. En effet, des militants ont été chassés, sans aucune raison, d'autres ont été singulièrement ignorés, certains « bousculés et bastonnés ». Par ailleurs, des militants ont été jugés, des locaux ont été squattés, des gourdins ont été « sortis » et ont « servi », des dobermans ont été lâchés contre des frères qui refusaient le diktat d'une « conception nouvelle » imposée au FLN. Et la meilleure démonstration de ce comportement immoral et plus que choquante, une démonstration qui a défié tout entendement et offensé de chastes consciences de militants, a été ce « jugement expéditif » au niveau de la Chambre administrative de la cour d'Alger qui a prononcé l'invalidation du huitième congrès du FLN. Le jugement en référé considérait les résultats du congrès « nuls et non avenus » et décidait de « geler toutes activités » du FLN ainsi que « ses comptes bancaires jusqu'à ce que la situation soit mise en adaptation et en conformité avec la loi ». Cependant, tout de suite après, une autorisation a été accordée au pseudo mouvement des redresseurs pour organiser « un congrès d'étape », le 22 janvier 2004. Ainsi, l'indépendance de la justice, proclamée par l'article 138 de la Constitution, se trouvait être malmenée et de là également, les « partisans-activistes » des deux bords, « conservateurs » et « redresseurs » jouaient et gagnaient, chacun selon ses ambitions, mais jamais pour l'intérêt suprême de cet FLN qui ne pouvait plus supporter le poids des antagonismes et des divisions. A partir de là, je me suis trouvé en porte-à-faux avec mes principes, avec ma conscience, dans un FLN qui devenait médiocre et inopérant de par ses responsables. Et là, je n'ai pas mis beaucoup de temps pour choisir mon camp... J'étais alors ambassadeur en Syrie et, me départissant de ma réserve, j'ai fait une « singulière » déclaration, quand un « provocateur », qui m'a été spécialement envoyé, m'a posé la question suivante : « Et ta position avec le FLN de Belkhadem ? » Belkhadem était alors mon ministre des Affaires étrangères et chef de file de cette coterie des « redresseurs ». J'ai répondu ainsi à mon interlocuteur et j'ai même écrit cela, en bonnes lettres : ‘'Et pourquoi me parle-t-on du FLN de Belkhadem ? Est-ce que Belkhadem a son FLN et qu'un autre responsable a son autre FLN ? J'appartenais et j'appartiens toujours au FLN de Novembre, celui qui a mobilisé les moudjahidine, celui qui a été à l'origine du recouvrement de notre indépendance, celui qui me mobilisait et me mobilise, jusqu'à aujourd'hui, pour redoubler d'effort dans la participation et l'encadrement des masses pour le développement national''.
Je m'excuse, mais vous n'avez pas répondu entièrement à ma question. Je vous ai demandé est-ce que ces propositions ne relèvent pas de l'aventure, ou plus encore, de l'audace qui a souvent manqué quand nous étions en droit de l'attendre ?
Maintenant, est-ce que cette façon d'écrire relève de l'aventure ou de l'audace, je ne vois pas pourquoi écrire ainsi peut être assimilé à ces « éléments de référence » qui n'existent pas — vous avez raison de le souligner — chez nos responsables. Non, les propositions que je fais pour terminer mon livre et, bien avant, le « mea culpa » que je confesse dans le préambule, sont une suite logique d'un constat et d'une situation en deçà de nos espérances. Le FLN est malade de ses responsables. Il ne faut pas s'en cacher car, au moment où d'autres partis dans d'autres pays évoluent constamment en se réformant et en s'adaptant aux exigences des temps modernes, pour acquérir une légitimité indiscutable, le nôtre, entre les mains de « jongleurs », nous tire vers le bas...
Vous persistez, dans chacun de vos écrits sur le FLN, à réitérer que ce dernier n'a jamais été aux premières loges du pouvoir, mais qu'il « a subi ce pouvoir » qui, souvent, ne lui a pas renvoyé l'ascenseur pour les services rendus. Expliquez-nous davantage cette position... la vôtre, bien sûr...
En effet, j'ai toujours expliqué cette « fonction subalterne » ou ce « pouvoir fictif » et « simulé » tacitement par nous tous, qu'exerçait (et qu'exerce toujours) le FLN au sein de notre système. Je suis en droit de l'affirmer parce que j'ai vécu cette situation depuis la plus petite structure (la cellule) jusqu'à la plus haute (le secrétariat permanent du CC), dans la hiérarchie du FLN. Je fais remarquer que cette carence — si je peux l'appeler ainsi — n'avait pas cours du temps du président Ben Bella, où le parti se montrait souverain. Mais combien ce pouvoir a-t-il duré et quels ont été ses effets dans le laps de temps de cette première gouvernance, dominée par les divisions d'un autre genre ? Pas longtemps, assurément, puisque l'événement du 19 juin 1965 a mis fin à ce rêve que des militants entretenaient, lorsqu'ils étaient dominés par cet espoir d'authentiques nationalistes. Ils ont été dépités par les prises de position d'une « administration » qui était là, qui se consolidait davantage et qui altérait, par sa course vers une emprise évidente sur toutes les institutions de l'Etat, ce qui restait de ce « semblant » de pouvoir que s'inventait le FLN depuis l'indépendance. De là ont commencé ses déboires. Il fonctionnait ainsi, comme un beau décor ou, comme je l'écrivais une fois, comme cet « épouvantail » qui fait beaucoup plus peur qu'autre chose. Notre FLN devenait, dans ce cas, l'instrument du pouvoir pour être, au cours des crises successives, son inévitable « alibi »... C'est d'ailleurs le titre de mon premier livre. Ainsi, ce rôle « secondaire », pour être plus précis, nous l'avons toujours joué. C'était hier, quand nous vivions le fait accompli dans un système que nous avions toujours soutenu et où le parti unique faisait bon ménage avec nos constantes politiques. A ce titre, j'ai écrit un deuxième livre intitulé Le FLN, a-t-il jamais eu le pouvoir ? pour insister sur cette conviction du véritable rôle de mon parti au sein du régime d'alors. Mais aujourd'hui, avec l'instauration du pluralisme politique et l'apprentissage de la démocratie, le FLN, comme par ironie du sort, continue malheureusement de jouer ce rôle mineur, voire timide, quand ce n'est pas un rôle triste et obscur.
A la lecture du livre, l'on sent comme une sorte de « déculpabilisation » de plusieurs responsables qui ont eu en charge les destinées du FLN, notamment les Mehri, Benhamouda, Benflis. . . Par contre, d'autres, vous semblez les vouer aux gémonies. Vous en parlez en termes sévères et quelquefois dédaigneux...
Vous savez, je ne joue pas au procureur général dans un tribunal de grande instance. Et après, qui suis-je pour me permettre de juger les gens et, plus encore, des responsables, les miens ? Cependant, je pense avoir le droit, en tant que militant et ancien cadre et responsable de ce prestigieux parti, de donner mon avis sur le fonctionnement — comprenez sur les dysfonctionnements — de ses instances et structures qui, par voie de conséquence, sont gérées ou « régentées », c'est selon, par des hommes, comme vous et moi, qui deviennent forcément des responsables. Je l'ai dit, je ne suis pas un censeur ni un provocateur. Mais comme tout ancien responsable, ayant connu le personnel politique de son pays, j'ai le droit de dire « hautement et courageusement » que personne ne peut atteindre Abdelhamid Mehri ou Boualem Benhamouda, tant leur passé et les années de militantisme au service de ce pays plaident pour eux afin qu'on les considère avec beaucoup d'égard et de respect et qu'on les célèbre avec des sentiments de reconnaissance dignes de leur rang. Personne ne peut traiter également les Benflis et Belkhadem d'incompétents ou de malhonnêtes, tant ils sont bardés d'aptitudes et de savoir et animés de meilleurs sentiments et de bonnes intentions pour servir l'Algérie. Seulement, je peux établir des différences entre les uns et les autres. Je peux donner mon avis, sans avoir à m'en dédouaner demain, à l'heure des confrontations, puisque l'actuel secrétaire général, M. Belkhadem lui-même, confirme ces situations biscornues de son appareil et crie sur tous les toits que la direction qu'il manage est « fourrée » de pseudos militants qui n'ont rien à voir avec le FLN. Il donne même le nombre d'indus occupants. Effarant ! Il parle bizarrement d'environnement malsain où cohabitent la dégradation et la capitulation avec l'indifférence et le laisser-aller. Il dénonce aussi cette corruption à grande échelle au sein des structures de notre parti : la « chkara », un terme bien de chez nous. Re-effarant ! Et enfin, il admet que son appareil n'est pas pour aller dans le sens du progrès et qu'il doit être revu et corrigé. Ibidem : re-effarant et déconcertant ! En revenant à nos problèmes d'aujourd'hui, et au vu de plusieurs situations « burlesques », le moins qu'on puisse dire, j'écris clairement que la direction actuelle du FLN, à laquelle j'ajoute des épithètes quelque peu sévères, en effet, n'est pas en mesure de s'affronter à ces problèmes d'ordre économique, social et culturel, tellement elle est submergée de conflits internes et de désordres organiques auxquels elle ne trouve pas de solutions. Cela s'est accentué depuis son dernier congrès. Et là, je vais le dire avec la sincérité qui me caractérise. Car, si le 8e congrès statutaire a été décrié, celui qui est venu en substitution, accrédité de la noble étiquette de « rassembleur », n'a fait qu'approfondir les clivages entre des frères supposés être du même bord. Pourquoi ?
Enfin, la refondation... vous y croyez ? Sera-t-elle au rendez-vous de l'Histoire pour redonner au FLN son lustre d'antan ou, du moins, ce qu'espèrent les militants et les nationalistes honnêtes qui voient en ce parti la continuité de Novembre ? Et le musée, est-ce la panacée pour arriver à le laver de toutes les souillures — c'est votre terme — dont il a été couvert ?
Oui, la refondation j'y crois, mais pas avec cette équipe. Car à mon humble avis, celle-ci n'a jamais montré les prémices d'une réforme évidente. Je ne pense même pas qu'elle ait eu le temps de réfléchir à ce problème crucial qui se pose aujourd'hui plus que par le passé, pour réanimer un parti qui se meurt et qui souffre d'indifférence et de froideur. La refondation se fera, incontestablement, avec ceux qui croient à l'alternance, à la jeunesse et aux principes. Elle se fera parce qu'il y a cette volonté chez les militants de base. Ainsi je dis, comme tous mes amis et mes frères de combat qui sont profondément préoccupés par la situation du FLN, il doit s'occuper, sérieusement, de sa refonte, une refonte conséquente et audacieuse, c'est le souhait de tous ceux qui gardent encore un minimum d'espoir et de respect pour lui. Mais, à l'impossible, il ne faut pas trop se formaliser ni même se froisser, contentons-nous de cet acquis, que notre FLN demeure, encore, en bonne place, dans notre hymne national, malgré des tentatives d'« aliénation », engendrées par la peur de « l'autre ». Enfin, c'est déjà bien que de l'évoquer constamment en entonnant à pleine voix « Kassamen », même si « nous avons failli au serment » que nous lui prêtons à chaque occasion. Oui, à l'impossible, il ne faut pas trop s'indigner. Nous accepterons son destin ! Nous accepterons, difficilement, nous, ses véritables enfants, qu'il aille au musée et nous nous consolerons en nous disant que ce ne sera pas une mauvaise place pour lui ! C'est pour cela que le musée, pour moi, n'est pas un dépit. Ce n'est pas également une requête « césarienne » que je formule, loin s'en faut, puisque je me ressaisis dans mon post-scriptum. C'est une tournure de style, c'est plutôt une métaphore que j'affiche, comme on fait brandir son épée devant un adversaire. En d'autres termes, le FLN doit aller chez ceux qui savent le garder jalousement, le chérir, le distinguer, le préserver et le hisser haut, très haut, parce qu'il appartient à ce pays qui a été libéré des griffes du colonialisme sous sa bannière... C'est alors que le musée est une mise en valeur pour qui connaît le sens profond de cette retraite. Et le recours à cette conduite — même si je ne la souhaite pas — est d'une noblesse incontestable pour qui ose l'adopter ! Voyez-vous, encore une fois, que mes propos ne sont pas caustiques. Je ne demande rien pour moi, je souhaite, par contre, beaucoup de réussite pour les jeunes, beaucoup de progrès pour notre pays.


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