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Le cimetière amputé de plus de la moitié
Prévu sur 8 hectares à Gué de Constantine
Publié dans El Watan le 18 - 05 - 2008

On ne naît pas à la commune de Gué de Constantine, mais on n'y meurt pas non plus. » Samy Belhamri, président de la section du RCD de la commune se confie : « Maintenant on peut y naître puisque une clinique de 65 lits, rattachée à l'hôpital Parnet, a ouvert ses portes. »
Reste que le projet de cimetière ne connaît toujours pas son épilogue. « On est contraint de se rabattre sur le cimetière de Sidi Rzine ou encore celui de Sidi Yahia, et un travail acharné auprès des APC est mené à cet effet », relève-t-il en affirmant qu'il importe de « désengorger » la commune, d'autant plus que le projet traîne depuis plus de 10 ans. Une enveloppe de 80 millions de dinars a été consentie sur budget de wilaya. « Les conseils communaux précédents ont pu en discuter et les responsables de l'Epic de l'époque ont donné des engagements », relève-t-il en rappelant que le projet est impératif. Autre nouveauté : situé au domaine Megnouche, l'espace de 8 ha, qui doit accueillir pas moins de 145 000 tombes ainsi qu'un parking de 1148 places, a été amputé de plus de la moitié. Il ne reste que 3 ha. L'on croit savoir qu'un programme de logements a été prévu dans l'espace. L'entreprise Cosider, à laquelle a été cédé le terrain, va y ériger, dit-on, 800 logements. « Le conseil interministériel en a décidé ainsi », assure Djakhnoun, directeur de l'entreprise de gestion des pompes funèbres (EGPFC), affirmant que des études ont été faites sur la base de la superficie de 8 ha, mais changées plus tard. Selon lui un budget de 55 millions de dinars a été décidé pour la réalisation du cimetière. Les travaux seront lancés, au plus tard, dans un mois. Un appel d'offres devait être lancé dans un mois pour le choix de l'entreprise. « L'opération doit prendre un peu de temps, compte tenu des règles des marchés publics », atteste Djakhnoun en faisant remarquer que les entreprises ne se bousculent pas au portillon, préférant aller vers d'autres secteurs « plus lucratifs ». « Comme partout ailleurs, les citoyens de Gué de Constantine aurait préféré enterrer leur morts plus prés de chez eux », assure-t-il. Deux autres cimetières de 3 ha chacun sont aussi programmés à Draria et Chéraga. Des efforts soutenus ont été menés par l'Epic et l'Association de la protection des cimetières (APCA) s'y est mise en initiant, jeudi dernier, des travaux de volontariat auxquels les APC ont pris part. Une fois partis, des citoyens laissent leurs bouteilles et d'autres détritus. On en voit tellement que le travail de nos agents s'en trouve amoindri », relève le gérant d'El Kettar. Les marbriers y ont toujours pignon rue. « Ils sont toujours là, mais travaillent au noir ; celui impliqué dans l'affaire des faux marbriers a été condamné à 10 ans de prison ferme », conclut-il.

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