Des Moudjahiddines encore en vie témoignent sur l'histoire erronée Les habitants de la ferme Germain et Hamrelaïne racontent la collaboration de Bounedjma, dit 'Errahdj' (le poison) avec le Commandant Ramos. Mohamed Bounedjma était derrière la mort d'un groupe de Moudjahiddines à Djenan Etchina. La révolution l'a condamné à mort à sa découverte. Noureddine Ethawri (le révolutionnaire) à Ennahar : Le commandant Ramos était très affecté par la mort de Bounedjma, dit Errahdj. Monsieur Amou Kouider, responsable de la deuxième section à Bourkika : J'ai entendu en prison l'information de l'élimination de Mohamed Erradh et Abdallah Kara par la révolution. Jadis, on disait ‘ce lionceau fils de ce lion', aujourd'hui on peut dire cela aussi mais d'une autre manière ; on pourra dire ‘ce serpent fils de cette vipère'. Jadis aussi on disait ‘vis longtemps, tu entendra des étrangetés'. Ce sont là des vérités pour ceux qui n'ont plus honte au point où les fils de harkis menacent ouvertement les fils de Moudjahiddines de mort, de liquidation et les traitent de tous les noms d'oiseaux. Au moment où la vérité historique est confirmée par les témoignages de Moudjahiddines qui sont encore en vie, il est temps que les moudjahiddines de la révolution de dire les quatre vérités et faire cesser le maquillage des vérités et faire cesser ce commerce basé sur les sacrifices des Chouhada et des moudjahiddines. De la cité Kettaf ‘Elyafoufi', Ammi (oncle) Kada, ou Noureddine Ethawri à Ennahar : L'histoire a été falsifiée par ceux qui n'ont pas honte, le temps de la peur de la mort est passé. Dit le Moudjahid Kada Ben Saadouda, appelé ‘Ammi Kada' ou ‘Noureddine Ethwari'. Il n'est pas facile de parler de l'histoire ternie de certains traîtres de l'Algérie qui sont devenus aujourd'hui des martyrs dont les fils et petits fils perçoivent des privilèges et des droits qui sont normalement réservés aux vrais fils de chahid. Et d'ajouter : L'histoire a été falsifiée par ceux qui n'ont pas honte. Nous, nous avions craint de dire la vérité, car celui qui dit la vérité ils le tuent, mais tant qu'il y en a qui cherchent la vérité, alors le temps de la peur est passé. Ammi Kada exprime sa profonde tristesse sur ce que sont devenus les fils de harkis, ces gens qui gravissent l'échelle des responsabilité au nom du sang des martyrs. Il ajoute « personne ne peut mentir aux habitants de cette région, ni ne peut trafiquer l'histoire. Quiconque dira qu'il est fils de chahid ou de maquisard, je lui dirai exactement le fils de qui il est. A la place de cette maison, il y avait une ferme qui appartenait à un officier de l'armée française qui s'appelait Ramos, avec le grade de Commandant à la caserne d'El Harrach. Moi, j'étais responsable du centre de transit dans cette ferme sous le commandement de responsable de la wilaya IV, parmi eux Moustache, Larbi et Moha El Blidi qui étaient tous responsables de la région Hamrelaïne jusqu'à la mer. Je connaissais tous enfants de la région un par un malgré toute cette période de temps passé (plus de 50 ans) mais vu l'importance des évènement, je me rappelle jusqu'au moindre détail, même les noms des moudjahiddines de Aïn Temouchent qui étaient passés par là, je me rappelle d'eux. Errahdj, ou Mohamed Bounedjma a était responsable de la mort de 3 maquisards à Djenane Etchina et cinq civils dans la région de Rahmane. Kada Ben Saâdouda raconte qu'il activait avec Mohamed Bounedjma et une trentaine d'autres sous le commandement de Ibrahim Ben Amar, parmi eux Rahal Omar, dit ‘Ezzaouèche' et autres de Blida et El Afroun. Les histoires de collaboration avec le colonialisme français ne manquent pas. La plus importante est celle de Mohamed Errahdj et Abdallah Kara et une troisième personne qui prétendait être un Imam et qui a été la cause de l'arrestation de Ibrahim Ben Amar… Le responsable de l'institution Youcef El Khatib à Hamrelaïne « Bounedjma Errahdj et son groupe ramassaient l'argent et tuaient les gens au nom de la révolution » Vers la fin de l'année 58 ou 59, Mohamed Errahdj et Kara Abdallah ont été tué pour trahison, Mohamed Errahdj et Kara Abdallah extorquaient l'argent aux citoyens au nom des cotisations pour la révolution. Ils ont été découverts après qu'un citoyen nommé Amar El Djilali se soit plaint. Ceci en plus de ses relations avec le colonialiste français. Selon les habitants de la région, les arbres de ce qui était appelé Djenane Etchine sont encore témoins de la honte des collaborateurs. Nous, nous avons affronté le terrorisme seuls, et ce personnage qui s'appelle Khaled n'est pas un des fils de Germain et El Yafoufi. Les homme de Germain et El Yafoufi ont affronté le terrorisme pendant que ce Khaled qui prétend défendre les enfants de Chouhada et pleure le sang des martyrs, a fui…