Un « Julian Assange » marocain a réussi à mettre sens dessus dessous les autorités du pays, en met en ligne sur Twitter les secrets du Makhzen. Les révélations de celui qui se fait appelé Chris Coleman, ou le Wikileaks marocain, mettent le Makhzen dans l'embarrasse, selon des médias européens. La publication de câbles de la diplomatie marocaine et de mails des renseignements marocains, la Direction générale des études et de la documentation (DGED), diffusés via Twitter et Facebook, ont révélé que des journalistes français, des think-tanks français, italiens et américains ont été instrumentalisés par le Maroc, moyennant finance. Ces derniers produisent des articles et des analyses favorables aux thèses du Maroc et préjudiciables à l'Algérie et au Front Polisario qui revendique, depuis 1973, l'indépendance du Sahara occidental", selon le site Orient xxi.