Un avocat égyptien a intenté une action en justice contre le quotidien Ennahar et son correspondant à Tlemcen, devant le tribunal Erramchi, pour diffamation et fausses informations publiées dans un article d'Ennahar le 29 novembre dernier. Article dans lequel des professeurs de l'université d'Oran déclaraient que cet avocat avait difficilement terminé ses études en droit en 2004 et est devenu par magie écrivain. Celui-ci transformait des livres de droits égyptiens en livres algériens. Une maison d'édition dans la région de Aïn M'lila lui a édité 16 titres dans un délai record. Selon des docteurs de l'université d'Oran, les livres de cet avocat n'ont aucune valeur surtout que son niveau est très limité et ses œuvres ne comportaient aucune référence ni sources. En plus de cela, ce soit disant avocat se comporte d'une manière irrespectueuse, ce qui a poussé des dizaines d'entre eux à se constituer pour prendre la défense d'Ennahar. Plusieurs avocats d'Oran, Tlemcen et Sidi Belabbès ont exprimé leur intention de défendre Ennahar qui a réussi à détruire Bounedjma, le fils d'Errahdj et qui tend à détruire un espion égyptien qui ose s'attaquer à un quotidien national dans un pays où il a réussi à s'approprier des biens au nom d'associations fictives. Des avocats demandent une vérification et une expertise sur les livres soit disant écrits par cet avocat licencier, avec un niveau très faible afin de s'assurer des informations publiées par ennahar. Une autre avocate demande à ce que cet avocat qui a fait d'Oran un lieu pour s'enrichir sur le dos des algériens qu'il traite d'idiot, soit traduit en justice et dévoilé.