L'administration de la compagnie Orascom Télécom Holding a démentie toutes les déclarations du PDG du groupe Cevital, Isaâd Rebrab, lorsqu'il a annoncé qu'il était prioritaire pour l'acquisition de la compagnie Djezzy. Ce dernier a révélé qu'il y avait toujours des contactes entres les deux compagnies sur la vente de la compagnie. L'administration de Orascom télécom Holding a exprimé son étonnement des déclarations de Isaâd Rebrab la fin de la semaine dernière notamment celles relative à la demande du Président du conseil d'administration, Nadjib Sawris du double de la valeur réelle de Djezzy. Cette dernière a tenue à déclarer que la compagnie n'est pas à vendre et qu'il n'y a actuellement aucun contact entre Orascom télécom et le groupe Cevital sur ce sujet. La compagnie de téléphonie mobile Orascom Télécom Holding a procédé au paiement d'une partie de ses impôts dans le but de pouvoir poursuivre ses activités commerciales en Algérie mais aussi dans le but d'éviter le gèle de ses avoirs bancaires par les autorités algériennes, moins de deux mois après que les services fiscaux aient révélés les impôts exigés de la compagnie Djezzy le 16 novembre dernier. Deux jours seulement avant le match ayant opposé les Verts à leurs homologues les Pharaons pour le compte des qualifications combinées CAN Coupe du Monde 2010. La compagnie Orascom télécom holding a annoncé son paiement de 20% des impôts pour pouvoir poursuivre ses investissements en Algérie sous la marque commerciale « Djezzy », sur un total des impôts estimé à 596.6 Millions de Dollars relatif à la période de 2005 à 2007. Selon le communiqué publié hier par la compagnie Orascom télécom holding, le paiement de ses 20% des impôts intervient aux termes des lois algériennes, afin qu'elle puisse présenter un recours. Lequel communiqué stipule qu'au cas où les services de contrôle fiscal reconnaissent leur erreur sur le relevé des impôts, Djezzy aura alors le droit de récupérer 119 Millions de dollars qu'elle compte verser comme premier pas avant de présenter un recours officiel quant à la valeur des impôts qu'elle considère exagérés. Orascom compte présenter un recours contre cette imposition qu'elle considère trop exagérée et inacceptable, alors que la direction générale des impôts avait expliqué dans un communiqué que l'investisseur égyptien a fait l'objet d'un contrôle fiscal à l'instar des autres entreprises travaillant en Algérie, qui a débuté le 3 juin 2008 après un avis de contrôle délivré à la compagnie en date du 20 mai 2008. L'opération de contrôle fiscal était relative aux années 2004, 2005, 2006 et 2007. En plus de l'année 2004 dont les résultats ont été transmis à la compagnie, des propositions d'évaluation relatives aux années 2005 et 2007 ont été faites en date du 12 juillet 2009, soit 13 mois après de la première intervention des services de contrôle. Après le délai de procédure et l'analyser de la réponse du requérant datée du 16 août 2009 les services de contrôle de la direction générale des grandes entreprises ont défini les résultats définitifs qui ont été communiqués à Orascom Télécom Algérie à travers une correspondance datée du 16 Novembre 2009. Le contrôle fiscal relatif à Orascom Télécom Algérie s'est déroulé dans le respect total des procédures légales de contrôle et conformément aux procédures fiscales.