On ne parle que de « la vallée des loupsé, « Assi », « Erraya » (l'étendard), « la maison de grand père », et « Djawahir » (bijoux) Yousra, Tamer Hosni, Adel Imam, Ilhem chahine, Ihab Toufik, detestent les artistes algériens. « Parles moi, merci », « sensations », « lettres de mer », « un garçon, une fille » et « couleurs naturelles », des films érotiques égyptiens commercialisés en Israël. Achouri, Farida, Fella, Zakia… nous ne traiterons plus avec les Egyptiens, même s'ils nous offrent les richesses des Pharaons et leurs pyramides Après tout ce qu'a endurée l'équipe nationale algérienne de football le 14 novembre dernier, et le caillassage du pus des joueurs au Caire et les graves blessures de nos joueurs, en plus de l'agression des supporters algériens au Caire et au Soudan. Après les attaques verbales de bas étages des pseudo-artistes égyptiens à l'instar de Yousra, Adel Imam, Zina, Tamer Hosni et autres Ihab Toufik, tout ceci et tout cela ont fait que les algériens refusent tout ce qui est égyptien et tout ce qui nous vient d'Egypte. Tous les algériens ont orienté leurs assiettes vers d'autres chaines et regardent plutôt les films et séries syriens et turcs. Après avoir été les stars des jeunes algériens et algériennes, les Tamer Hosni et autres n'intéressent plus nos jeunes après les évènements du Caire et de Khartoum et surtout après toutes les insultes déversées à longueurs de journées, et des nuits, par les télévisions égyptiennes. Tous les albums des Tamer et ses frères et sœurs ont été jetés dans la poubelle. Les films et séries égyptiennes interdits dans les foyers algériens Le algériens, dans leurs écrasante majorité, ont boycottés les films et séries et programmes égyptiens. Ghania, enseignante, nous confie qu'elle ne supporte plus entendre le parlé égyptien. « ils ont dépassé toutes les limites, je ne regarde plus leurs films et n'écoute plus leurs chanteurs. Avant, j'aimais l'actrice Yousra, mais la vilaine a dit des choses sur l'Algérie, ce qui fait que je ne la supporte plus. Ils font semblant d'être bien éduqués et civilisés, mais ils ne cherchent que leurs intérêts personnels. Le fils de leur président les a achetés avec quelques sous. Ce ne sont que des hypocrites. Khaled se dit lui aussi heureux que son épouse abandonne les chaines égyptienne, car lui, il ne les aime pas depuis toujours. Yousra, Tamer Hosni et Ilhem chahine haissent les artistes algériens Après avoir été un certain temps l'idole de beaucoup d'algériens qui suivent ses films et séries, l'actrise Yousra s'est fait grillée en Algérie immédiatement après avoir montrée son vrai visage sur le programme « El Beit Beitek » (faites comme chez vous) en insultant les algérien et en restituant le prix qu'elle a eu au festival d'Oran en 2009. Yousra est l'artiste la plus détestée en Algérie. Elle est interdite d'entrée dans ce pays. Le public algérien a été plus que surpris de son comportement et de ses propos, elle qui avait été reçue à bras ouvert comme une princesse au point d'avoir été surprise elle-même. Le vilain chanteur Tamer Hosni, reçu lui aussi comme un prince lors de sa première visite en Algérie en 2008 et subitement devenu le chanteur le plus haï. Ses albums ont été carrément mis aux rébus et ses posters qui ornaient les chambres de milliers de ses fans ont été remplacés par ceux des footballeurs algériens. Quant à Chahine Ilhem, qui a visité l'Algérie plus d'une fois et à chaque fois elle a été reçue comme une reine, elle s'est elle aussi retournée contre ce pays qui lui a tant donné. Les producteurs égyptiens vendent leurs films à Israël Après l'échec de commercialisation de tous les films produits récemment en Egypte pour cause de refus du publique dans le monde arabe, les producteurs égyptiens se sont tournés vers les productions érotiques dans le but d'attirer les spectateurs par le sexe, mais se genre de films a rencontré beaucoup de critiques à l'intérieur du pays, à l'instar du réalisateur Mohamed Kamel el kaliouby qui a dévoilé la vente de films égyptiens en Israël. Et d'ajouter que des parties israéliennes s'intéressent à ce genre de production dans le but d'étudier la société égyptienne. Les égyptiens ont été surpris récemment par un certain nombre de films très érotiques tels que « Ahassiss » (sensations), « Parles moi, merci » et « Aux couleurs naturelles ». Selon l'acteur Mahmoud Abdelaziz, ces films ne reflètent pas la réalité du cinéma égyptien. De son côté, le critique Walid Seif a déclaré « ce genre cinématographique a disparu pendant longtemps d'Egypte, il revient dans le but d'attirer le public jeune et non pas le public de famille ».