Le projet de résolution au conseil de sécurité de l'ONU, pour condamner la répression du régime de Bachar el Assad en Syrie, a été jugé inacceptable par le Russie. La Grande-Bretagne, la France, l'Allemagne et le Portugal préfèrent parler de mesures ciblées au lieu de sanctions et ce afin de rallier les autres pays du Conseil de sécurité. Le projet de résolution au conseil de sécurité de l'ONU, pour condamner la répression du régime de Bachar el Assad en Syrie, a été jugé inacceptable par le Russie. La Grande-Bretagne, la France, l'Allemagne et le Portugal préfèrent parler de mesures ciblées au lieu de sanctions et ce afin de rallier les autres pays du Conseil de sécurité. Le vice-ministre russe des Affaires étrangère, Guennadi Gatilov considère inacceptable le texte que les occidentaux s'apprêtent à soumettre au vote. Ce projet est loin de nous satisfaire et toutes nos inquiétudes n'ont pas été prises en compte, a-t-il déclaré. Moscou, un allié de la Syrie, souhaitait une résolution se basant sur la nécessité du dialogue politique en Syrie et que la pression soit mise aussi bien sur l'opposition que sur le régime d'al-Assad. Et bloque tout projet prévoyant des sanctions. Contrairement à Moscou, la Turquie qui entretenait auparavant d'excellentes relations avec la Syrie, a annoncé mardi qu'elle prendrait rapidement des sanctions contre le régime d'El Assad.