La jeune élève de la « Star Académie arabe 5 », Amel Bouchoucha, est de retour. Elle compte marquer son retour avec force, en participant dans un feuilleton égyptien, « En dessous de la terre », du réalisateur Ahmed Djaber. Ce feuilleton s'inscrit dans le registre du drame traitant de multiples facettes sociales. Le réalisateur nous raconte des histoires terribles avec une incroyable et une très jolie interprétation des comédiens. L'échelle des valeurs est bel et bien inversée. Les défauts deviennent maintenant des qualités et la médiocrité surpasse la compétence. Même au niveau de la justice, l'honnêteté n'est pas toujours reconnue. Il faut se battre vraiment pour faire triompher les valeurs authentiques alors qu'elles apparaissent d'elles même. « En dessous de la terre » a pour principal objectif de mettre en lumière ces inégalités. Selon certaines indiscrétions, Amel Bouchoucha campera un rôle important aux côtés de grands noms comme Amir Kerara, Yasser Masri et Dina Cherbini, qui sont distribués dans ce feuilleton. Elle est jeune, passionnée et surtout innovatrice. Amel Bouchoucha a su, en peu de temps, se faire une place sur la scène cinématographique arabe en interprétant divers rôles et styles différents qui véhiculent un même langage. Il faut dire que son style est un peu particulier et original puisqu'elle ne baisse pas les bras, surtout qu'elle vient d'être écarté du tournage du feuilleton « Zaman Barghout », prétextant sa non maîtrise du parler syrien. Ses textes racontent la situation sociale des jeunes et les problèmes quotidiens qu'ils affrontent. Comme dans un roman, le téléspectateur s'identifiera aux personnages et reconnaîtra des situations réelles bien que ces situations soient idéalisées. Dans ce feuilleton, le réalisateur éveille l'esprit critique tout en inculquant la culture des belles valeurs, la solidarité, la générosité, l'engagement au sein de la famille et aussi le sacrifice. Rappelons qu'Amel Bouchoucha a bien réussi son passage dans le film « Dhakiret Djassad » adapté du roman d'Ahlam Mostghanemi, réalisé par le Syrien Najdate Anzour. Elle a en effet épaté le téléspectateur arabe en général et algérien en particulier par sa grâce, sa dévotion et son talent. Elle s'est distinguée par une maîtrise et une cohérence du jeu dramatique. Elle a d'ailleurs assimilé la gestuelle jusqu'à l'appropriation du personnage de « Hayet ». Elle a aussi participé dans un feuilleton « Djalassat Nissaiya », (retrouvailles entre dames). Il a été diffusé durant le mois de Ramadhan dernier. Elle a campé le personnage de Rouwaïda.