Jeudi dernier, lors de sa visite dans la wilaya de Tamanrasset et devant les représentants de société civile, Abdelmalek Sellal a affirmé que celui qui voulait le critiquer était libre de le faire mais qu'il « ripostera » à quiconque attentera à sa personne. Sinon, « je n'ai de problèmes avec personne. Libre à celui qui veut s'exprimer. Je ne le considérerais nullement comme un ennemi », a-t-il ajouté. Il a affirmé qu'il n'existait aucun différend entre les membres du gouvernement. « Il n'y a pas de division au sein du gouvernement et nous n'avons pas d'ennemis, nous sommes tous algériens », précise-t-il, non sans renchérir : « il nous arrive d'avoir des désaccords, mais dans la difficulté nous sommes solidaires. »