Une commission ad hoc s'est réunie hier : Vers l'institution d'un diplôme de doctorat en médecine dentaire La commission ad hoc pour la chirurgie dentaire s'est réunie hier au siège du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique à Alger pour débattre notamment de la question de l'institution d'un diplôme de doctorat en médecine dentaire, indique ce ministère dans un communiqué. Cette réunion s'inscrit dans la perspective de la prochaine conférence nationale des doyens de facultés. Présidée par le Pr Madjoub Bouzitouna, la commission est composée de dix (10) professeurs et enseignants représentant l'ensemble des départements de chirurgie dentaire des universités du pays. Ces membres ont planché sur l'ensemble des points inscrits à l'ordre du jour de la réunion, notamment le diplôme de docteur en médecine dentaire, la refonte du programme pédagogique ainsi que l'amélioration des conditions de pratique des stages et d'intervention des médecins dentistes. L'instauration d'un diplôme de doctorat en médecine dentaire est une revendication des étudiants dentistes. Sétif : les promoteurs interdits de choisir les bénéficiaires de LPA La décision de laisser aux promoteurs immobiliers le soin de sélectionner eux-mêmes les bénéficiaires de logements promotionnels aidés (LPA) a été annulée, a annoncé lundi le wali de Sétif, Abdelkader Zoukh. Cette annonce, faite sur les ondes de la radio locale, a permis au centre-ville, théâtre ces derniers jours de plusieurs sit-in de citoyens contestant cette mesure, de retrouver son calme et donné lieu, en même temps, à un sentiment de soulagement dans les rangs de la population concernée. M. Zoukh a également précisé au cours de son intervention à la radio locale que l'étude et l'établissement des listes des bénéficiaires seront effectués par les services de la daïra. Une zone d'activités de transformation des produits agricoles pour Mascara Une zone d'activités spécialisée dans la transformation des produits agricoles sera créée au lieu-dit "Dekakra" dans la commune de Matemor (Mascara), ont indiqué les services de la wilaya. La réalisation de cette zone, première du genre dans la wilaya, sera lancée au début du deuxième semestre de 2011. Une fois réalisée, elle permettra aux investisseurs de se lancer dans la transformation des produits agricoles que recèle la plaine de Ghriss. Ces activités concerneront la conservation et l'emballage des oranges, olives, huile d'olive et divers légumes, selon le responsable de la cellule de communication de la wilaya New York interdit la cigarettes dans les parcs 50 dollars. C'est le montant de l'amende à laquelle s'exposent les fumeurs qui s'aventureraient désormais à fumer dans les parcs (1.700 à New York) et sur les plages de la Grosse pomme. Cette mesure est l'initiative d'un ancien fumeur devenu pourfendeur du tabagisme : le maire de New York, Michael Bloomberg. Dans sa ville, fumer est déjà interdit dans les bars et les restaurants depuis 2003. Concrètement, des panneaux marquant l'interdiction de fumer dans les parcs ont été installés et le département de santé et d'hygiène mentale lance une campagne de sensibilisation à la télévision, dans le métro et dans la presse écrite. Trafic de déchets toxiques en Somalie Un journaliste français, Paul Moreira, est allé enquêter en Somalie, pays livré à la guerre civile, pour rapporter la preuve irréfutable que des industriels italiens ont déversé pendant des années sur les côtes de ce pays des tonnes de déchets toxiques qui ont contaminé les eaux du littoral et les populations locales. En dépit de tentatives de dissuasion du Quai d'Orsay, le journaliste français a mené une enquête à haut risque où il découvre que déverser une tonne de déchets toxiques le long des côtes somaliennes ne coûte que 2,50 dollars. C'est la décharge la moins chère du monde, et une source de bénéfices confortables pour les Occidentaux. Aussi, les réseaux mafieux responsables des trafics d'armes et de déchets prospèrent... Une mauvaise herbe menace les cultures dans quatre pays du Moyen-Orient Une mauvaise herbe redoutable, la morelle jaune, qui menaçait les cultures en Irak et en Syrie, a été signalée au Liban et en Jordanie, a annoncé hier la FAO qui s'est engagée à aider ces pays à lutter contre cette menace. "Ce type particulier de mauvaise herbe livre aux cultures une concurrence farouche en accaparant les nutriments tandis que ses racines profondes ôtent au sol toute son humidité", a expliqué Gualbert Gbèhounou, expert en la matière de la FAO. Outre qu'elle détruit les cultures, les baies de cette plante sont un véritable poison pour le bétail, selon la FAO, pour qui "la morelle jaune plante ses racines très profondément dans le sol et possède des épines qui rendent son extraction à la main assez problématique pour les paysans".