- La Cosob veut relancer le marché financier national La Commission d'organisation et de surveillance des opérations de bourse (Cosob) a soumis au ministère des Finances une série de propositions pour relancer le marché financier en Algérie, encore à la traîne, a indiqué son PDG, Noureddine Ismaïl. La Commission a proposé l'amendement du règlement général de la Bourse d'Alger afin de l'ouvrir aux PME accompagnées de leurs promoteurs en bourse. La Cosob a proposé aussi une modification du règlement relatif aux OPCVM (Organismes de placement collectif en valeurs mobilières) pour autoriser la délégation de gestion des OPCVM à des sociétés professionnelles qui seront agréées par la Cmmission. Cette réforme à court terme vise à relancer le marché financier en Algérie qui, actuellement, ne participe pas encore au financement de l'économie, malgré quelques actions isolées en matière de levée de fonds par des entreprises nationales et étrangères. Elle sera suivie d'un plan de modernisation et de développement du marché financier à moyen terme pour augmenter la contribution de ce marché dans le financement des entreprises publiques et privées, selon ce responsable. - L'Algérie se réassure annuellement à hauteur de 246 millions de dollars contre les CAT-NAT L'Algérie achète chaque année auprès de réassureurs internationaux une garantie annuelle qui la protège à hauteur de 246 millions de dollars contre les catastrophes naturelles, a indiqué samedi le PDG de la Compagnie centrale de réassurance (CCR), Hadj Mohamed Seba. La prime de réassurance payée par l'Algérie pour s'offrir cette couverture internationale coûte annuellement environ 500 millions DA, a précisé à l'APS, M. Seba. La CCR est le seul réassureur en Algérie pour les risques Cat-Nat et couvre le coût de tout événement à concurrence de 4 millions de dollars. Dans le cas où le montant des dommages excède ce niveau, elle récupère auprès des réassureurs étrangers la différence à hauteur de 246 millions de dollars, a expliqué M. Seba. - La lutte antiacridienne a ciblé 8000 hectares à Sidi Bel-Abbes Près de 8000 hectares, infestés par le criquet marocain à Sidi Bel-Abbès, ont été traités par les services concernés, a-t-on indiqué auprès de la direction des services agricoles de Sidi Bel-Abbès. L'inspection phytosanitaire de la DSA de Sidi Bel-Abbès a affirmé que les superficies touchées par ce ravageur, et qui sont localisées au sud de Sidi Bel-Abbès, entre autres Ras el Ma, Bir el Hmam, Oued Sbaâ, Merhoum, etc., ont été traitées par trois équipes mobilisées à cet effet. Grâce à ces opérations de grande envergure inscrites dans le cadre de la lutte antiacridienne, le danger a été écarté, et pratiquement l'ensemble des foyers a été désinfecté, selon la direction des services agricoles de Sidi Bel-Abbès. - Le site de Djemila «victime» des festivaliers Au-delà des aspects purement artistique et folklorique de la 7e édition du Festival de la chanson arabe de Djemila, c'est le site touristique classé patrimoine archéologique par l'Unesco en 1982, théâtre de l'engouement public durant 10 soirées, qui a subi des dégradations, à commencer par l'accumulation de grandes quantités d'ordures. Pis encore, certaines pièces archéologiques témoignent encore du passage des «festivaliers» indélicats. Des mosaïques, visiblement sous le coup de l'action humaine irresponsable, sont transformées en urinoirs par manque de structure d'accueil adéquates. En fait, depuis la reprise du Festival en 2004 pour le compte de la 2e édition, il a été convenu pourtant que le festival se déroule en dehors de l'enceinte archéologique ceci afin de préserver la richesse du patrimoine représenté par la ville romaine qui mérite restauration et préservation. - Un facteur indélicat détroussait les morts Un facteur, relevant du secteur des P et T de la wilaya de Sidi Bel-Abbès, a été placé sous mandat de dépôt pour détournement de pensions de deux défuntes depuis 2002. Le montant des pensions détourné a été estimé par les enquêteurs à plus de 160 millions de centimes.Selon les services de la brigade économique et de la police judiciaire de Sidi Bel-Abbès, le facteur indélicat retirait les virements de deux vieilles femmes, C. F. et K. Z., décédées en 2002 et 2003. En effet, la caisse nationale de retraite, selon la police, effectuait des virements réguliers, alors que le facteur n'a jamais mentionné le décès des deux femmes.Durant cette période (sept années), le facteur a pu retirer 84 millions de centimes du compte de C. F. et plus de 75 millions de centimes de celui de K. Z. - Hadj Mansour nouvel entraîneur du MCO Le MC Oran n'a pas tardé à trouver un successeur à Alain Michel qui a quitté ses fonctions d'entraîneur de l'équipe 72 heures à peine après son installation. Il s'agit, en effet, du technicien d'origine palestinienne, Hadj Mansour. C'est du moins ce que nous avons appris hier de sources bien informées, selon lesquelles le technicien en question était attendu, hier à Oran, pour parapher son contrat et entamer ses fonctions. En outre, nous apprenons que le club d'El Hamri a abondonné la piste du gardien de l'USM Alger Maâzouzi en raison de la gourmandise des responsables algérois. La direction du MCO s'est lancée, d'ailleurs, dans la course pour trouver un autre gardien en mesure de faire concurrence au portier numéro un de l'équipe Sid Ahmed Fellah. Quant à l'attaquant de l'AS Khroub, Leghzal il devra signer, selon nos sources, aujourd'hui son contrat. - Aït Ouamer au CRB Le milieu du terrain, Hamza Aït Ouamer, est de retour au Chabab de Belouizdad après avoir été libéré par l'USM Alger au sein duquel il a évolué pendant deux saisons. Aït Ouamer aurait même signé son contrat après avoir trouvé un terrain d'entente avec les dirigeants belouizdadis. Quant au défenseur Slimane Raho, sa piste serait peu probable sachant que le joueur, en fin de carrière, ne fait pas l'unanimité parmi les dirigeants. A noter aussi que l'attaquant camerouanais Boudjoungou est arrivé à Alger vendredi et a entamé hier, les essais en vue d'un éventuel recrutement.