- Glissement de terrain à Dély Brahim : La DTP sur place A Dély Brahim, sur la route menant vers Chéraga, Ouled Fayet, Douéra et El-Achour, les ouvriers s'affairent autour du gabionnage d'un tronçon de route sur une cinquantaine de mètres. Et pour cause, les eaux de pluies charriant boue et gravat obstruent la route à forte circulation, et causant de grands embouteillages. Selon le responsable du chantier, les travaux de la pose de gabions recouvert d'un grillage en fer ont commencé le mois dernier et s'achèveront dès la première semaine du mois d'octobre. Selon un responsable au niveau de l'APC de Dély Brahim, ce tronçon a été plusieurs fois aménagé. Mais à cause du problème récurrent du glissement de ce terrain, la DTP a pris en charge ce problème. - Organisé par l'APICO d'Oran : L'hommage à Cheb Hasni n'aura finalement pas lieu Le chantre de l'amour version raï, Cheb Hasni, ne sera pas célébré comme annoncé en grandes pompes par l'Association pour la promotion et l'insertion de la chanson oranaise (APICO) d'Oran. Et ce, après que la veuve du défunt artiste eut fait opposition, parce que l'événement s'est fait sans que la famille n'en soit avisée et qu'elle refuse au nom de toute la famille qu'on profite d'une telle commémoration à des fins purement mercantilistes. Pourtant dans son programme des festivités, cette association avait fait l'annonce que la recette du concert prévu à cet événement culturel, allait être remise à l'issue de la manifestation, le 30 septembre prochain, à la famille Chekroun, pour marquer le triste anniversaire de Hasni mort assassiné par un groupe terroriste un 30 septembre 1994. Mais l'association tient tout de même à cette halte commémorative avec un recueillement sur la tombe de l'artiste et dépôt de gerbes de fleurs, le 29 septembre. - Tizi Ouzou : Suicide d'un jeune homme Un jeune homme de 28 ans s'est donné la mort en se jetant d'un pont enjambant la rocade sud à la sortie de Tizi Ouzou vers le village de Bouhinoun. En fin de matinée d'avant-hier, alors qu'il se rendait au village précité en compagnie d'un parent, le jeune homme est subitement descendu du véhicule, qui était à l'arrêt au-dessus du pont, au bord duquel il était, pour se jeter dans le vide laissant perplexe le conducteur. Un acte que la famille de la victime a du mal à cerner tant la veille, le jeune homme était joyeux et heureux au cours du mariage d'un de ses frères. - Tizi Ouzou : Menace sur la forêt de Harouza «Le seul poumon qui reste à Tizi Ouzou est en voie de disparaître», nous dira El Hadj Djilali Iratni, un habitué des randonnées pédestres et footings sur les pistes et routes de la forêt de Harouza. Un site qui surplombe la capitable du Djurdjura où tous le joggers de la ville de Tizi Ouzou se donnent rendez-vous pour s'adonner à leur plaisir et passe-temps favori. Comme lui, ils sont nombreux à dénoncer la situation et surtout cette image hideuse qu'offre cette forêt qui est devenue une véritable décharge où s'amoncellement détritus et gravats. Pis, comme le soulignera un autre jogger, Brahim Boutaba, cet amoncellement est pratiquement un danger pour le lotissement situé en contrebas. Notre interlocuteur nous fera même part d'une réflexion autour de la création d'une association des joggers pour demander une audience au wali afin qu'il intervienne et mette un terme à cela. Il faut dire que depuis la fermeture de la décharge de Oued-Fallin, tout le monde semble se rabattre sur la forêt de Harouza qui ne tarderait pas à prendre le relais de la décharge précitée. - Manifestation des habitants de Beaufraisier Près d'une cinquantaine de jeunes des baraques du quartier 14, chemin du Fort (Beaufraisier), dépendant de la commune de Oued Koriche, ont manifesté, hier, leur colère pour demander à être relogés. C'est au niveau du rond-point de Triolet que les manifestants se sont regroupés paralysant ainsi la circulation automobile. Les éléments anti-émeutes ont investi les lieux pour débloquer la circulation. Ce n'est qu'au milieu de l'après-midi que les choses ont repris leur cours normal. Pour les jeunes manifestants qui habitent les bidonvilles de Beaufraisier (près de 182 baraques), situés au pied du mont qui relie Triolet à Chevalley, il est inconcevable que depuis la dernière opération de relogement en 1984 et les inondations de 2001, aucune opération de relogement n'a été enregistrée dans ce quartier populaire. Les services du nettoyage (Asrout) se sont appliqués à enlever les objets hétéroclites (cailloux, pneus, plaques de zinc...) qui jonchaient la chaussée.