• Les portes du stade ont été ouvertes en début de matinée. A 13h, quelque dix mille fans étaient déjà là. • Une bonne organisation dans la tribune de presse. Les journalistes ont pu y accéder sans aucun problème. Ce ne fut pas le cas lors des déclarations des coaches. • Quelques Algérois ont supporté les vingt-deux acteurs. Des drapeaux de leurs clubs respectifs ont été accrochés sur les barrières des gradins. Il y avait ceux du CRB, de l'USMH et de l'USMA. Pour sa part, le public cabiste a eu le soutien de quelques centaines de fans du MCA. • En haut du virage où se trouvaient les Batnéens, il y avait des banderoles appelant au fair play. • Les pompiers ont assuré un décor festif. Avec leurs mouvements, ils ont réalisé des tableaux représentant les couleurs des deux clubs, les drapeaux de l'Algérie au milieu, le sigle de l'armée nationale populaire ainsi que le refrain 1, 2, 3 Viva l'Algérie. • Quelques échauffourées ont éclaté à l'entrée du stade. Une poignée de supporters du Doyen se sont accrochés avec ceux de Sétif. • Plusieurs anciennes gloires étaient présentes. On cite Mustapha Kouici et Saïd Amara, une des figures de l'équipe FLN et ex-président de la FAF. Ce dernier était très malade, avant que son état de santé s'améliore. Ce qui lui a permis de ne pas manquer la finale. • La première équipe entrée sur le terrain est l'ESS. D'ailleurs, le portier Faouzi Chaouchi était le premier à apparaître. Une opportunité pour cetains de prendre des photos avec le rempart vedette de l'EN. • Durant l'interprétation de l'hymne national, une grande partie du public a hissé le drapeau national. Une habitude depuis 2004, où l'équipe nationale a été soutenue en Tunisie par ses fans lors de la CAN. • Farouk Belkaïd était accompagné de sa petite fille. A quelques minutes du coup d'envoi du match, il l'a portait entre ses bras. Lui qui a été exempté du safari de la rencontre aller contre l'Union de Douala pour rester à ses côtés quand elle était malade. • Un Aigle en or a été remis au président de la République des mains de Abdelhakim Serrar président de l'ESS.