Bien que la radiesthésie soit parfois considérée comme une pratique illégale de la médecine, elle est utilisée, dans certains pays, pour établir des pronostics médicaux et, disent, ses partisans, pourquoi pas pour choisir un traitement, en plus des examens cliniques effectués selon la méthode classique. Jean Palaiseul, un auteur français connu pour ses ouvrages sur les médecines non conventionnelles, a relaté dans un de ses livres une expérience dont il a été le sujet. Il souffrait d'une maladie que les médecins ne parvenaient pas à guérir, en dépit de tous les médicament utilisés. C'est alors que son médecin, un «pendulisant», c'est-à-dire qui pratique la radiesthésie, lui suggère de recourir à cette discipline. «Il m'a proposé, écrit Palaiseul, de laisser au pendule le choix des remèdes, cela grâce à une trousse garnie d'une série impressionnante de «tubes-témoins» de médicaments. J'acceptai et il sélectionna, pour ainsi dire à l'aveuglette, en se fiant uniquement aux réactions du pendule, quatre ou cinq tubes. Quand il regarda les étiquettes portant les noms des produits, je puis lire son étonnement sur son visage. Je ne vois pas, me dit-il, comment ces médicaments pourraient résoudre votre problème, mais puisque nous sommes d'accord pour jouer le jeu, jouons-le… Toutefois, je ne vous cache pas que je ne crois guère à des résultats. Ceux-ci furent pourtant spectaculaires : au bout de quelques jours, je me sentis renaître et les analyses, pour la première fois – depuis six mois – furent normales…»