Résumé de la 16e partie n Après le départ de Wahiba pour un congrès, Rachid rencontre Omar qui lui demande où en sont les relations avec Wahiba... Les quatre jours du congrès passent. Elle ne l'a pas appelé, et de retour, elle n'a pas cherché à le contacter. Il a pensé à lui téléphoner, mais il s'est ravisé : il ne faut pas qu'il lui donne l'impression d'être trop attaché à elle. C'est vrai qu'il s'est attaché à elle, mais il doit savoir prendre ses distances. Il laisse passer encore un jour. Il se décide à l'appeler quand elle l'appelle. — allô, c'est toi, Wahiba ? — c'est moi, j'attendais ton appel ! Il est confus. — tu étais souffrant ? Il saisit la perche. — oui, j'étais malade. — pourquoi tu n'es pas passé me voir ? — ce n'est rien, des maux de te tête. — il faudra quand même voir ça. Il change de sujet. — comment s'est passé ton séjour ? — j'ai travaillé comme une dingue. Au retour, j'ai dormi comme un loir ! Il rit. — j'ai beaucoup appris, mais je suis épuisée ! — tu me raconteras ça, devant un pot ! — d'accord ! — et si c'est le restaurant que je te propose ? — une autre fois. Prenons juste un pot ! Ils se fixent rendez-vous. Un peu plus tard, ils se sont rencontrés dans un salon de thé. — tu m'as manqué, lui dit-il. — a moi aussi ! Il a du remords de chercher à se détacher d'elle. Finalement, il tient beaucoup à elle. Elle vient de lui dire qu'elle aussi tient à lui, mais est-elle sincère ? — je vais terminer ma thèse. — tu soutiendras alors ? — oui. — ta situation professionnelle va s'améliorer ? — oui. j'ai déjà des responsabilités ! — alors tu seras chef ! Elle rit. — pourquoi pas, mais il faudra beaucoup d'efforts. — tu travailles déjà assez ! Elle sourit. — c'est le métier qui l'exige. Mon père, que Dieu ait son âme, voulait que je fasse médecine, mais c'était ma passion aussi ! Je ne voulais pas faire d'autres études ! — c'est un beau métier ! (à suivre...)