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Suspense
L'heure zéro (68e partie)
Publié dans Info Soir le 20 - 10 - 2009

Résumé de la 67e partie n Mrs Rogers apprend à Mary que l'ascenseur n'a jamais été en panne…
Mrs Rogers revenait avec Joe. Le portier n'en démordait pas : l'ascenseur n'avait pas connu la moindre panne la soirée précédente. Il admettait qu'il existait bien un écriteau semblable à celui qu'avait décrit Thomas Royde... mais il était relégué sous le comptoir et ça faisait plus d'un an qu'on ne s'en était pas servi.
Ils échangèrent des coups d'œil perplexes et conclurent qu'il y avait là mystère absolu. Le médecin penchait pour l'hypothèse d'une mauvaise farce de l'un des pensionnaires de l'hôtel. Faute de mieux, on en resta là.
En réponse aux questions de Mary, le Dr Lazenby indiqua que le chauffeur de Mr Treves lui avait donné le nom des notaires du vieil avocat, et qu'il les avait prévenus du décès de leur client. Il ne manquerait pas de se rendre à la Pointe-aux-Mouettes pour informer lady Tressilian des dispositions prises pour les obsèques.
Sur quoi le médecin s'en fut s'occuper de ses patients tandis que Mary et Thomas reprenaient le chemin de la Pointe-aux-Mouettes.
— Vous êtes vraiment sûr que vous avez vu cette pancarte, Thomas ? insista Mary.
— Latimer et moi l'avons vue. De nos yeux vue.
— C'est ahurissant ! décréta Mary.
C'était le 12 septembre.
— Plus que deux jours, soupira Mary Aldin.
Elle se mordit les lèvres et rougit.
Thomas Royde la regarda, songeur.
— La situation vous pèse à ce point ?
— Je ne sais pas ce que j'ai. Jamais de ma vie je n'ai été aussi pressée de voir nos visiteurs nous quitter. Pourtant, d'habitude, le séjour de Neville est pour nous une fête. Et celui d'Audrey aussi.
Thomas acquiesça de la tête.
— Mais cette fois-ci, poursuivit Mary, on a l'impression d'être assis sur un baril de poudre. Qui peut exploser à tout moment. En me réveillant, ce matin, la première pensée qui m'est venue, ç'a été «plus que deux jours». Audrey part mercredi, et Neville et Kay s'en iront jeudi.
— Et moi, vendredi, rappela Thomas.
— Vous, je ne vous compte pas. Vous êtes solide comme un roc. Je ne sais pas ce que j'aurais fait sans vous.
— Je vous ai servi de bouclier humain ?
— Plus que cela. Vous avez été si gentil et si... si apaisant. Ce que je dis peut vous sembler ridicule, mais exprime bien ce que je ressens.
Thomas Royde parut ravi et gêné tout à la fois.
— Je ne sais d'ailleurs pas pourquoi nous nous sommes montrés si nerveux, ajouta Mary. Après tout, s'il y avait eu un éclat, ç'aurait été pénible et embarrassant, sans plus.
— Vous ne me dites pas le fond de votre pensée, Mary.
— C'est exact. Je n'ai cessé d'éprouver une sorte d'appréhension permanente. Même les domestiques l'éprouvent. Ce matin, la fille de cuisine a fondu en larmes et elle m'a donné ses huit jours... sans la moindre raison valable. La cuisinière est survoltée... (à suivre...)


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