Résumé de la 6e partie n Ali parvient dans un pays où un serpent à sept têtes sème la terreur. Ce dernier exige, pour libérer l'eau de la source, une jeune fille par semaine. C'est le tour de la fille du roi... Le serpent ne tarde pas à sortir la tête, flairant la nourriture. Il est si gigantesque qu'Ali recule, mais il reprend vite courage et va vers lui. il tire son épée et se précipite vers lui. — tiens, sale bête ! Il lui tranche une tête. — tu ne m'as rien fait, crie le serpent. Il sort une autre tête. Ali la tranche. — tu ne m'as rien fait ! Et il frappe, frappe, jusqu'à trancher toutes les têtes. Le serpent meurt. la jeune fille sort de sa cachette. — tu m'as sauvée ! s'écrie-t-elle. Ali, sans rien dire, monte sur son cheval. — Attends, mon père va te récompenser ! Elle a juste le temps de lui enlever sa sandale, il est déjà loin. La princesse met la sandale dans sa poche et entre chez elle. Son père s'écrie, en la voyant : — Ma fille, le serpent ne t'a pas dévorée ? — non, mon père, un jeune homme m'a sauvée ! Et elle lui raconte tout. — je veux qu'on retrouve ce jeune homme ! dit le roi. La jeune fille tire la sandale de sa poche. — elle est à lui ! Ali, qui ne veut pas être reconnu, a mis une aiguille dans la patte de son cheval qui se met à boiter. Il a déchiré ses vêtements afin de passer pour un mendiant, puis il va dormir dans la mosquée. Dans la région, pour trouver le sauveur de la princesse, le roi décide de faire essayer. la sandale à tous ses sujets.Elle ne va à personne. On va retrouver le roi et on lui dit. — la sandale ne va à personne ! — cherchez encore ! On cherche encore, mais on ne trouve toujours pas à qui appartient la sandale. — cette sandale ne va à personne. Nous ne l'avons pas présentée seulement à un mendiant qui dort dans la mosquée. — essayez-la lui ! ordonne le roi. On lui essaye la sandale et elle lui va. — c'est lui ! On l'emmène devant le roi. — voilà le jeune homme ! On découvre sous les traits du mendiant un jeune homme de valeur. La fille du roi le reconnaît et le roi lui dit : «je t'accorde la main de ma fille et je te fais vizir !» (à suivre...)