Iran - Israël - Un réseau d'espionnage lié à Israël a été démantelé en Iran, a rapporté, hier, lundi, la télévision d'Etat citant le ministère iranien du Renseignement. Les agents du ministère ont «réussi à démanteler un réseau d'espions et de terroristes liés au régime sioniste», selon un communiqué du ministère, qui précise que «les principaux responsables de l'assassinat» du physicien nucléaire iranien Massoud Ali Mohammadi en janvier 2010, ont été arrêtés dans cette opération. Palestine - Israël - Le négociateur palestinien Saëb Arekat s'entretiendra, jeudi prochain à Washington, avec des responsables américains dans le cadre des efforts pour relancer les négociations de paix entre Palestiniens et Israéliens et mettre un terme à la colonisation israélienne, a rapporté ce mardi matin l'agence de presse palestinienne Wafa. Arekat a précisé qu'il ne rencontrera pas l'émissaire israélien, tant que la colonisation juive se poursuit en Cisjordanie et à El-Qods occupée. Arabie saoudite - Al-Qaîda - Un mandat d'arrêt international à fin d'extradition, ou «notice rouge», a été diffusé par Interpol à l'encontre de 47 Saoudiens, recherchés par leur pays pour leur lien présumé avec Al-Qaîda, a annoncé, hier, lundi, l'organisation internationale de police criminelle. «La majorité des 47 suspects, âgés de 18 à 40 ans, représentent potentiellement une grave menace pour le public en Arabie saoudite et à l'étranger», ajoute Interpol en citant les propos du porte-parole du ministère saoudien de l'Intérieur. Espagne - ETA - Le groupe basque armé ETA, qui a annoncé, hier, lundi, un cessez-le-feu «permanent», doit prendre des mesures «beaucoup plus convaincantes et définitives», a déclaré le chef du gouvernement espagnol José Luis Rodriguez Zapatero, en avertissant qu'il n'acceptera «aucune tromperie». Cette annonce est «insuffisante», car «seul vaut la fin définitive de la bande terroriste», et ce sera «un processus dur, coûteux, difficile», a poursuivi Zapatero. France - Niger - La France et le Mali ont accusé hier, lundi, Al-Qaîda au Maghreb islamique (Aqmi) d'être derrière l'enlèvement au Niger de deux Français, tués samedi dernier lors d'un assaut des forces françaises en territoire malien contre les ravisseurs. Le ministre français de la Défense a dit avoir «absolument» la confirmation de l'implication d'Aqmi dans l'enlèvement des deux Français dans la capitale. Des policiers antiterroristes français ont été envoyés ce week-end au Niger pour participer à l'enquête sur les circonstances de la mort des deux Français.