Résumé de la 15e partie - Tous les médecins ne parviennent pas à soigner la princesse Alia, devenue mélancolique. Un seul découvre l'origine de son mal. L'homme va trouver le roi. — Majesté, j'ai découvert de quoi votre fille souffre ! — Je t'écoute, dit le roi. Mais l'homme hésite à révéler la vérité. — J'ai peur. — Quoi ? Tu ne veux pas me dire ce qu'a ma fille ? — Je veux bien tout dire, mais j'ai peur que ce que j'aie à vous dire ne déchaîne votre colère contre moi ! — Je ne te ferai rien ! — majesté, votre fille souffre de mélancolie ! — ça, je m'en doutais, mais quelle est la cause de cette mélancolie ? — L'amour, Majesté ! Le roi le regarde, éberlué. — Ma fille ? Mais je l'ai toujours dérobée aux regards des hommes. Comment peut-elle être amoureuse ? Le roi fait le geste de tirer son épée. — Tu veux sauver ta tête, scélérat ! — Non, Majesté, je l'ai entendue parler ! Le roi veut bien l'écouter. L'homme rapporte les propos de la princesse. — Vous n'avez qu'à l'interroger. — c'est ce que je vais faire. Mais gare à toi, si tu m'as menti ! Le roi va retrouver sa fille. — ma fille, lui dit-il, comme tu es triste… Je souffre de te voir dépérir et je ferai tout pour te rendre le sourire ! La princesse Alia soupire. — Tu me comprends ? Elle hoche la tête, mais ne veut rien dire. — Vois-tu ma fille, je suis prêt à satisfaire tous tes désirs ! La princesse baisse la tête. — Même s'il s'agit d'un homme que tu désires… La princesse lève les yeux. — Oh, mon père ? — Tu es amoureuse, n'est-ce pas ? — Oui, mon père. Le roi retient avec peine sa colère. — Puis-je savoir de qui ? Elle lui raconte alors les regards échangés avec le prince. — Quoi, tu t'éprends du fils du pire ennemi de notre royaume ? — Mon père… — je ne veux plus en entendre parler ! (A suivre...)