Résumé de la 285e partie - La mère de Marylin Monroe est femme instable. Elle a déjà divorcé deux fois, mais elle veut quand même s'occuper de sa fille. Mais peu de temps après, Gladys fait une dépression. Elle ne peut plus s'occuper de sa fille. Elle dit à sa mère : — Tu avais raison, je ne peux garder ma fille ! Dellma aurait pris la petite, mais elle est vieille et malade. — Mes voisins cherchent à adopter un enfant, je pense que Marylin fera l'affaire ! Gladys secoue fortement la tête. — Je ne veux pas faire adopter mon enfant ! — Hé bien, il n'y aura pas d'adoption… Disons qu'elle sera placée dans une famille d'accueil… — Je pourrais la voir quand je voudrai ? — Bien sûr… Et puis, je serai à côté. C'est ainsi que la jeune Marylin est confiée aux voisins de sa grand-mère, Albert et Ida Bolender, à Hawtorne, en Californie. Marylin va vivre les sept premières années de sa vie, chez ce couple. De temps à autre Gladys va la voir. Marylin a quatre ou cinq ans quand Gladys lui fait cette confidence : — Je suis ta mère ! La fillette est surprise. — Mais ma mère, c'est Ida ! — Non, non, je t'ai juste confiée à elle. Marylin veut comprendre. — Mais alors, pourquoi m'as-tu abandonnée ? Gladys détourne légèrement la tête. — Je ne t'ai pas abandonnée ! Elle s'arrête un moment et reprend : — Oui, je ne t'ai pas abandonnée, je suis malade… Albert et Ida vont confirmer les dires de Gladys. — Oui, elle est bien ta mère, mais ne t'inquiète pas, nous continuerons à t'aimer et à ta protéger ! — Mais si elle est ma mère, elle pourrait me récupérer un jour ? — Oui, mais il faudrait qu'elle règle ses problèmes ! Marylin ignore quels problèmes rencontre sa mère. Celle-ci fait son examen de conscience et trouve qu'elle a trop négliger sa fille. Elle s'ouvre à sa collègue et meilleure amie, Grace MacKee. — Je veux récuper ma fille ! —Tu saurais vraiment t'en occuper ? — Oui, je crois que je vais mieux… Elle loue une chambre à Arbool Street, à Hollywood, et elle fait venir sa fille. Celle-ci se sent mal à l'aise et pleure tout le temps. Mais Gladys se montre très affectueuse et la fillette s'habitue à elle. — Nous vivrons toujours ensemble ! — Tu ne m'abandonneras plus ! — Non, jamais ! (A suivre...)