Résumé de la 336e partie - Les fantômes du presbytère deviennent agressifs : après s'être contentés de faire des apparitions, ils frappent la fille adoptive du révérend Foyster. Madame Foyster est frappée à son tour. Elle montre à son mari son œil, qui porte une marque sanguinolente, comme si on l'avait frappée avec un couteau ou une lame. Le révérend court chercher la boîte à pharmacie et lui donne les premiers soins. — Qui t'a frappée ? — Je ne sais pas, dit la jeune femme. J'ai senti comme des pas derrière moi, je me suis retournée et j'ai reçu le coup ! On cherche l'objet avec lequel la blessure aurait été faite, mais on ne trouve rien. Au presbytère, c'est de nouveau le désordre. Le révérend entre dans la bibliothèque et trouve les livres sens dessus dessous. Un peu plus tard, on se prépare à se mettre à table. la table se met aussitôt à tourner, comme mue par des bras invisibles, puis elle est précipitée avec la vaisselle. Le révérend a écrit son sermon pour la messe du dimanche et l'a posé sur sa table de travail. Le dimanche, il veut le prendre mais ne le retrouve pas. Quelques jours après, en se rendant dans la cuisine, Mme Foyster remarque quelque chose sur un mur. C'est une sorte de graffiti, fait à la peinture, mais écrit tellement haut, qu'il faudrait une échelle pour tracer les caractères. La jeune femme s'approche. «Qu'est-ce que ça peut bien être ?» On dirait des caractères d'écriture, mais ils sont tout déformés. Cependant, on reconnaît une sorte de «M». la jeune femme comprend aussitôt. — M ? Est-ce Marianne ? Or, Marianne est son prénom. Mme Foyster, toute tremblante, murmure. — C'est moi que vous appelez ? Personne ne lui répond, mais elle sent comme une présence. Elle prend peur et va chercher son mari. Il est également étonné par les graffitis. Peu après, un autre message apparaît. «Marianne aidez-moi» Les autres mots qui accompagnent le message sont indéchiffrables. Mais les «entités» demandent de l'aide à la jeune femme. Quelques jours après, la demande devient plus pressante : «Marianne, aidez-nous, obtenez-nous de l'aide !» C'est un vrai appel au secours. — Mais comment vous apporter mon aide ? — Tout ce qu'on peut faire pour ces pauvres âmes en peine, c'est prier ! Les Foyster prient, mais les phénomènes continuent : coups contre les murs, chuchotements, meubles qui bougent sans raison… Il y a même parfois des agressions, comme les draps arrachés dans la nuit ou des gifles administrées par des mains invisibles. — ça ne peut plus continuer ! — Et si nous appelions ce spécialiste de l'étrange ? — Harry Price ? C'est une bonne idée. (A suivre...)