Résumé de la 25e partie n Des graffitis, tracés par des mains invisibles, apparaissent sur les murs, appelant Marianne Foyster à l'aide… On décide d'appeler Harry Price. Harry Price arrive en septembre. Il écoute le témoignage des résidents, notamment de madame Foyster, qui tient un cahier où elle note tous les phénomènes qui se sont produits depuis l'arrivée de la famille au presbytère. Certains faits l'ont beaucoup impressionné. — J'ai été agressée dans une chambre… Elle était allée dormir et son mari prenait une douche quand elle a reçu un coup sous l'œil gauche. — Quand mon mari est arrivé, ça saignait ! — Vous n'avez rien vu venir… — Non… C'est par la suite, en examinant la blessure que je me suis demandé si on ne m'avait pas frappée avec un objet tranchant… — Vous n'avez rien trouvé ? — Non… Elle parle ensuite des graffitis. — Vous pensez qu'ils vous étaient adressés ? — Oui… Mon nom est cité ! — Et vous croyez que vous pouviez apporter de l'aide à ces entités ? — Je ne sais pas ! Price étudiera les phénomènes exposés et écrira plus tard : s'il n'y a pas de doute que le presbytère est hanté, il croit que certains faits ont été inventés par l'épouse du révérend ou créés par elle-même : c'est le cas des messages griffonnés sur les murs. Le tout est de savoir si la jeune femme a agi consciemment ou inconsciemment. En tant que spécialiste de l'étrange, Harry Price sait que certaines personnes peuvent s'infliger inconsciemment des blessures ou écrire des choses dont elles ne se souviennent plus. Mais en homme prudent, Price admet aussi la possibilité d'un esprit qui s'exprime par Marianne Foyster. Price étudie les faits, mais il n'arrive à aucune conclusion, si ce n'est que le presbytère de Borley est vraiment hanté. Cependant, après le départ de Price, les phénomènes inexpliqués continuent. Le révérend Foyster décide alors d'engager des exorcistes, un groupe de médiums, dirigé par le spirite Marks Tey et le médium Guy l'Estrange. Mais les fantômes qu'on croyait débusquer se font discrets. Ils ne se manifesteront qu'après le départ des exorcistes ! C'est de nouveau les bruits de pas, les chuchotements, l'impression d'être suivi, les bruits et même une musique qui s'échappe de l'église d'à-côté… Tout cela est supportable jusqu'au jour où la fille adoptive des Foyster est agressée par une «chose horrible». Elle est jetée par terre et rouée de coups ! C'est alors que les résidents du presbytère, comme ceux qui les ont précédés, décident de partir, en octobre 1935. Le presbytère va rester inoccupé pendant une année, puis le révérend Henning est nommé en mars 1936. mais le prêtre et sa famille demandent à l'évêque l'autorisation d'aller habiter dans le presbytère de Liston, non loin de Borley, sous prétexte que celui-ci est étroit. Le presbytère de Borley va rester encore inoccupé pendant une année. C'est alors qu'Harry Price décide de le louer. (à suivre...)