Résumé de la 23e partie n La fille adoptive du révérend Foyster est agressée, alors qu'elle se trouve dans la bibliothèque. Elle reçoit une gifle d'une main invisible. Les agressions ne s'arrêtent pas là. A quelques jours de l'incident, alors que le révérend prend sa douche, des cris fusent. — au secours ! au secours ! C'est madame Foyster. Le révérend, à moitié nu, se précipite dans la chambre bleue (qui est leur chambre à coucher) et la trouve toute tremblante. — Marianne, que s'est-il passé ? — on m'a frappée ! Et elle montre son œil, qui porte une marque sanguinolente, comme si on l'avait frappée avec un couteau ou une lame. Le révérend court chercher la boîte à pharmacie et lui apporte les premiers soins. — qui t'a frappée ? — je ne sais pas, dit la jeune femme. J'ai senti comme des pas derrière moi, je me suis retournée et j'ai reçu le coup ! On cherche l'objet avec lequel la blessure aurait été faite, mais on ne trouve rien. Au presbytère, c'est de nouveau le désordre. Le révérend entre dans la bibliothèque et trouve les livres sens dessus dessous. Il appelle sa femme. — quelqu'un a touché les livres ? — non personne… Il range les livres, mais le soir même, il les retrouve par terre. — c'est incompréhensible ! On se prépare à se mettre à table. la table se met aussitôt à tourner, comme mue par des bras invisibles, puis elle est précipitée sur la vaisselle. Le révérend a écrit son sermon pour la messe du dimanche et le pose sur sa table de travail. Le dimanche, le sermon a disparu. — Marianne, appelle-t-il sa femme, tu n'as pas vu mon sermon ? — il est sur ta table de travail ! — il n'y est plus ! — c'est curieux, il m'a semblé l'avoir vu hier… On cherche le sermon et on le retrouve dans une autre pièce, une pièce que l'on n'utilise pas d'habitude. — c'est curieux… Qui l'a déposé là ? Mais la question ne reçoit pas de réponse ! Un matin, madame Foyster entre dans la cuisine pour préparer le petit-déjeuner. La pauvre femme s'écrie. — mais que fait tout ce linge ici ? Toutes les armoires ont été vidées et tout le linge est répandu dans la cuisine. Mais madame Foyster n'est pas au bout de ses peines : elle entend des pas, des chuchotements et des rires étouffés (à suivre...)