Résumé de la 397e - On commence enfin à enquêter sur Landru qu'on ne connaît encore que sous ses noms d'emprunt. La parente d'une disparue l'a vu à Paris. Mlle Lacoste montre un magasin. — Ils sont entrés dans ce magasin. L'inspecteur entre dans le magasin. — Un couple vient d'entrer. L'homme est petit de taille, il est chauve et barbu... — L'homme vient d'acheter un service de porcelaine... Nous devons le livrer demain. L'inspecteur demande aussitôt. — Alors il a laissé son nom et son adresse. — Oui... Le propriétaire consulte son carnet de commandes. — Il s'agit de Lucien Guillet... Il habite au 76 rue Rochechouart... L'inspecteur prend les références et s'en va. Il pouvait procéder immédiatement à l'arrestation de Landru mais, par prudence, il préfère agir le matin de bonne heure. Le lendemain donc, à six heures, l'inspecteur Belin, suivi de deux policiers, sonne au 76 rue Rochechouart. Un petit homme en pyjama, chauve et barbu, ouvre. Il voit les policiers et s'exclame. — Que se passe-t-il ? — Police ! Vous êtes monsieur Guillet ? — Oui... — Ouvrez la porte ! Le moment de surprise passé, Landru demande, hostile. — Vous avez un mandat ? — Oui... — Je voudrais le voir ! L'inspecteur montre le mandat. Landru ouvre la porte. A ce moment-là, Fernande Segret sort d'une chambre. Elle est à moitié nue. — Lucien, de quoi s'agit-il ? Elle aperçoit l'inspecteur et les policiers. — Mon Dieu ! s'exclame-t-elle. Et elle s'évanouit. Tandis que les deux policiers la raniment, Belin ordonne à Landru de s'habiller. — Vous connaissez l'Ermitage, la maison de Gambais ? — non, dit Landru. — et pourtant vous l'avez louée sous le nom de monsieur Dupont ! — je ne vois pas de quoi vous parlez ! — et madame Buisson, vous la connaissez ! — je n'ai jamais rencontré cette personne ! — et madame Anne Collomb ! — je ne la connais pas non plus ! — et pourtant, Buisson comme Collomb ont été conduites à Gambais, par un homme qui vous ressemble beaucoup ! (A suivre...)