Résumé de la 47e partie n Abdenour et Salah sont sur le point d'accueillir l'oncle de Zakia. Le lendemain matin à 10h, l'oncle de Zakia téléphona à Salah pour lui dire qu'il était dans un taxi et que son arrivée au lieu de leur rendez-vous n'était plus qu'une question de minutes. Ah ! Très bien mon ami…Dès que le taxi arrivera à l'endroit où je t'attends tu me trouveras sur le bord du trottoir. Tu ne peux pas ne pas me voir. Cette conversation terminée, Salah téléphona à Abdenour qui se trouvait non loin de là à l'intérieur de sa voiture en compagnie de Zakia. Venez vite, notre bonhomme sera là d'un moment à un autre. Et l'imam est là ? s'enquit Abdenour. Oui…oui…ne t'inquiète pas Abdenour. Plus que quelques minutes et tu seras marié religieusement avec Zakia. Pour le reste ne t'inquiète pas non plus. Dix minutes plus tard, Abdenour, Zakia et l'imam s'étaient retrouvés dans l'arrière-boutique de l'agence immobilière de Salah. Ce dernier était dehors debout au bord du trottoir attendant l'arrivée du taxi qui ramenait le tuteur de Zakia. Quelques instants plus tard, la dame respectable qui se trouvait derrière un bureau et qui renseignai les clients avait bénéficié d'un congé exceptionnel. A sa place, Salah avait ramené une très belle jeune fille portant une tenue vestimentaire si aguichante qu'elle ressusciterait un macchabée. Son rôle était de faire perdre sa tête à l'oncle de Zakia. Le taxi arriva enfin. L'oncle de Zakia ne cacha pas sa joie en revoyant Salah l'Algérois qui lui avait promis 40 millions de centimes pour une simple signature. Dès que les deux hommes entrèrent dans la boutique, l'hôtesse de sa voix suave se mit à minauder : M'rahba khouya, zaratna baraka...Nous sommes contents de vous recevoir…m'rahba bik, m'rahba bik ! Et tout en parlant, elle contourna son bureau et vint à la rencontre de l'oncle de Zakia. Celui-ci en voyant la belle et longiligne jeune fille de 25 ans avec ses formes généreuses que moulait un jean's de couleur beige, faillit avoir la souffle coupé…Et quand elle l'embrassa sur la joue en signe de bienvenue, il faillit pousser un hurlement de détresse, semblable à celui des loups effrayés par la pleine lune. A suivre