Vérité n Que ce soit en mer ou en terre et quelle que soit leur taille, leur poids et leurs muscles, les animaux n'ont qu'un seul prédateur, l'homme. Sa puissance de démolition est telle que des espèces terrestres et marines ont totalement disparu. Les paléontologues pensent que la vie est d'abord apparue en mer. Ce n'est que bien plus tard que les premières espèces vivantes, monocellulaires au départ, prendront leur courage à deux mains pour sortir de l'eau et respirer l'air de l'atmosphère à pleins poumons. Et c'est ainsi que la Terre se peuplera de plus en plus d'espèces animales capables de vivre sous l'eau et à la surface du sol. Des scientifiques pensent qu'il a fallu des millions d'années de pluie incessante et quotidienne pour remplir tous les espaces devenus aujourd'hui des mers et océans. Dans notre planète, les mers occupent les 4/5 de sa surface contre 1/5 réservé au sol, aux forêts et à la végétation. Mais qu'on se rassure, ce dossier n'est pas un dossier scientifique et pour lequel d'ailleurs nous n'avons aucune compétence, mais une halte pour nous situer et comprendre ce que nous devons aux mers. Notre seule prétention est de montrer le rapport intime que nous entretenons avec les océans desquels nous tirons une bonne partie de nos substances et de nos ressources. La même chaîne alimentaire régit le monde sous l'eau comme elle régit le monde extérieur. Dans les profondeurs, par exemple, les petits poissons sont mangés par les gros et les gros avalés par des requins ou des baleines c'est-à-dire encore plus gros. C'est aussi ce qui se passe dans la savane africaine ou dans la jungle d'Asie. Le cerf est chassé par le lion, dépecé et mangé relief par relief, l'éléphant fait fuir le lion et le rhinocéros charge volontiers le lion. Bref, c'est à qui reviendra le dernier mot dans cette lutte atroce et sans pitié pour la survie. Mais que ce soit en mer ou en terre et quelle que soit leur taille leur poids et leurs muscles, les animaux n'ont qu'un seul prédateur, l'homme. Sa puissance de démolition est telle que des espèces terrestres et marines ont totalement disparu et qu'il a fallu lui imposer des textes aux plus hauts niveaux internationaux pour le dissuader de continuer dans sa voie et surtout pour l'engager à protéger les espèces qui arrivent encore à survivre. Pour revenir aux océans, la pêche à la dynamite a fait de grands torts à l'environnement et à l'écosystème et brouille la carte des migrations.