Blessées par leurs explosifs Deux personnes ont été grièvement blessées dans la nuit de mardi à mercredi à Grivegnée, près de Liège (est de la Belgique), alors qu?elles manipulaient du TNT pour fabriquer des explosifs, a rapporté l?agence Belga. Aucune précision directe n?a pu être obtenue auprès des services de police sur l?identité des victimes et les circonstances précises du drame. Selon Belga, l?une des victimes a eu les deux mains arrachées et a été touchée au visage. L?autre a été grièvement atteinte à un bras et à une jambe. Une troisième personne a été plus légèrement blessée et une quatrième aurait réussi à prendre la fuite. L?explosion, survenue vers 23h20 (21h20 GMT) mardi soir, a été suivie d?un incendie qui a détruit la toiture et le premier étage de la maison, dans laquelle se trouvaient les protagonistes. Les services de déminage sont intervenus dans la nuit pour éliminer tout résidu d?explosifs qui aurait pu subsister dans le bâtiment, a précisé Belga. L?«Enola Gay» au musée Le bombardier ayant largué la première bombe atomique sur le Japon en 1945, a été entièrement restauré et sera exposé dans la nouvelle annexe du Musée national de l?Air et de l?Espace devant ouvrir en décembre dans les environs de Washington. L?appareil, un B-29 Superfortress, a été officiellement réceptionné par le Smithsonian?s National Air and Space Museum lundi, a annoncé le musée. Larguée sur la population d?Hiroshima le 6 août 1945, la première bombe atomique de l?Histoire avait fait 66 000 morts et 69 000 blessés, dont la plupart sont morts de leurs blessures par la suite. Une seconde bombe, larguée le 9 août sur Nagasaki, avait fait 40 000 morts et 25 000 blessés. Les deux bombardements avaient mis fin au conflit nippo-américain avec la capitulation du Japon le 14 août et ouvert l?ère du nucléaire militaire. La condamnation à la lapidation annulée Un tribunal islamique nigérian a annulé mardi la condamnation à mort par lapidation d?un homme jugé pour le viol d?une fillette de neuf ans. La Cour islamique d?appel de la ville de Dutse, dans le nord du Nigeria, a suivi la défense de Sarimu Mohamed, 54 ans, qui plaidait la folie et a ordonné son placement dans un établissement psychiatrique.