Selon M. Aoun, 24 médicaments produits par Saïdal ne sont pas remboursés à ce jour par la Cnas. «Le nombre était de 35 il y a quelques années. C?est dire que des efforts ont été fournis. Néanmoins, nous continuerons à nous battre, on ne doit pas se laisser faire», martèlera-t-il. Au sujet de la privatisation de Saïdal, M. Aoun, qui fut nommé? liquidateur du groupe en 1995 avant de devenir son premier responsable, signalera que le processus a été engagé en 1999 avec la cession de 20 % du capital du groupe au profit de petits porteurs. Très récemment, 15 % du même capital ont été cédés au Fonds d?investissement algéro-koweïtien, poursuivra-t-il, avant de commenter : «Nous avons opté pour la plus élégante manière de privatisation.»