Avec un effectif relativement jeune et remanié à près de 80 %, Belayachi a réussi le pari de monter une bonne ossature, de faire un harmonieux amalgame entre jeunes et anciens et de présenter une équipe solide et séduisante qui n?a pas du tout démérité jusqu?à maintenant. Où est donc le problème ? Le match nul contre le NA Hussein Dey, une équipe que le Chabab n?a pas battu depuis 1996, c?est-à-dire même avec la fameuse équipe double championne en 2000 et 2001. Est-ce la faute à Belayachi si les joueurs n?ont pas justement respecté les consignes sur le terrain ? En fait, les raisons de ce limogeage à« l?amiable» sont à chercher ailleurs et surtout dans l?entourage du club. Pour ceux qui connaissent bien la maison du Chabab, le lait avait tourné lorsque Belayachi a eu des démêlés avec Hassena, un dirigeant, depuis, l?entraîneur était sur la sellette.