Pour plus d?informations et étayer notre dossier par des chiffres, nous avons contacté les directeurs de la Direction des transports (DT) et de l?Entreprise de gestion et de contrôle des transports urbains (Egctu), à El-Biar, en vain. Aucune suite ne nous est parvenue. Ne jugent-ils pas utile de collaborer avec la presse ? Eux seuls connaissent la réponse. La secrétaire du directeur de la DT nous a informés, après une succession d?appels, que son responsable est «plus qu?occupé». Quant au premier responsable de l?Egctu, il nous a fallu attendre plus de 3 jours pour enfin être reçus. Il nous a accordé une courte entrevue affirmant : «On ne peut vous donner aucune information sans l?accord de notre responsable à la wilaya d?Alger.» Certes, il est préférable de travailler que de «palabrer» avec la presse. Toutefois, la situation des transports en général et celle des gares routières en particulier laissent à désirer.