Résumé de la 11e partie n Omar ne doute plus désormais de Malika. Elle le considère bien comme son ami et lui est plus que jamais épris d'elle. Il a touché sa bourse et, au lieu d'acheter le blouson qu'il voulait depuis quelque temps, il la garde, dans l'intention de faire un cadeau à Malika. Il réfléchit à ce qu'il va lui donner et trouve que le plus beau cadeau et surtout le plus durable est un bijou ! Il pense aussitôt à une bague, à cause du symbolisme qu'elle représente. L'union, l'amour, le mariage... Ils la choisiront ensemble puis ils feront graver dessus leurs initiales : O et S. Dès qu'il la revoit, il lui dit : — Je veux t'offrir quelque chose ! Elle sourit : — Une fleur ? — Non, dit-il. — Un gâteau ? Il rit. — Je sais que tu aimes les gâteaux, mais je veux t'offrir quelque chose que tu garderas pour toujours et qui te rappellera que je t'aime ! — A quoi penses-tu ? — Tu n'as pas deviné ? — Non, dit-elle. — J'ai pensé à une bague ! Elle le regarde rêveuse. — Comme une bague de fiançailles ? Il sourit. — Ce sera pour toi comme une promesse que tu me feras ! Cela signifiera que tant que tu la porteras à ton doigt, tu seras à moi et je serai à toi ! Il la prend par la main. — Tu veux bien, dis ? — Oui, dit-elle. — Alors, allons acheter tout de suite la bague ! Ils se rendent dans plusieurs bijouteries avant de fixer leur choix sur une bague en forme de cœur. Ils la laissent au bijoutier pour faire graver leurs initiales. En sortant de la bijouterie, ils se rendent dans un salon de thé. Omar est très heureux : il lui semble que le cadeau qu'il vient de faire scelle encore plus sa relation avec Malika. Une Malika qui est également au comble du bonheur. — Il faut que moi aussi je te fasse un cadeau, dit-elle. Et elle ajoute : un cadeau que toi aussi tu porteras toujours sur toi de sorte que tu ne m'oublies jamais ! Elle enlève la chaîne qu'elle porte au cou et la lui donne. C'est un joli collier avec pour pendentif une clé. — Elle est en argent, mais c'est de l'argent pur ! Omar, très ému, la prend et la passe à son cou. — Je ne l'enlèverai jamais plus, dit-il, jusqu'à la mort ! (à suivre...)