Des timbres à l'effigie du président tchèque Plusieurs millions de timbres-poste à l'effigie du président tchèque Vaclav Klaus seront mis au rebut, trois mois seulement après leur émission. Elu fin février, M. Klaus n'a pas apprécié une première version de son portrait et la mise en circulation du timbre du nouveau président a pris du retard. Mais avec la suppression début novembre des petites pièces de 10 et 20 hellers (1/300e et 1/150e d'euros), la poste est contrainte de relever le tarif standard d'affranchissement d'une lettre ordinaire de 6 couronnes et 40 hellers à 6 couronnes et 50 hellers, a expliqué un porte-parole de la poste. Un bébé tigre cloné à l?ADN Un musée australien veut ressusciter le tigre de Tasmanie, une espèce disparue il y a plus de soixante ans, en clonant un bébé à l'ADN miraculeusement bien conservé, un projet digne de Jurassic Park qui suscite déjà des critiques. Les partisans de ce clonage affirment que c'est une chance unique de pouvoir corriger l'erreur des hommes dont la chasse est à l'origine de l'extinction du tigre de Tasmanie, également appelé thylacine. Le directeur du Musée australien de Sydney, Michael Archer, cheville ouvrière de ce projet, refuse la comparaison avec Jurassic Park, le film de Steven Spielberg dans lequel des scientifiques redonnent vie aux dinosaures en clonant leur ADN. Pour avoir une chemise repassée, il brandit son revolver Un maçon de 38 ans a été condamné lundi soir à quatre mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Saint-Etienne pour avoir collé un revolver sur la tempe de son épouse qui n'avait pas repassé sa chemise, a-t-on appris mardi de source judiciaire. Le ministère public avait requis à son encontre une peine de six mois de prison, dont cinq avec sursis, pour «violence avec arme sur conjoint». Son avocat, Me Karim Mrabent, avait requis la relaxe de son client, affirmant que l'épouse cherchait ainsi à obtenir gain de cause dans la procédure de divorce pour faute engagée par ce couple de Stéphanois d'origine italienne. Le 10 octobre dernier, l'épouse avait déposé une plainte auprès des services de police, affirmant que son mari venait de lui placer un revolver sur une tempe affirmant qu'il allait «la tuer si elle ne lui repassait pas une chemise». Le mariage royal japonais était une arnaque Un «prince et une princesse» japonais, soupçonnés d'avoir escroqué la somme de 13 millions de yens (101 524 euros) aux invités d'un faux mariage royal à Tokyo, ont été arrêtés ce mardi. Yasuyuki Kitano et Harumi Sakamoto, tous deux quadragénaires, ont envoyé 2 000 invitations à la «réception du prince Arisugawa» en avril, attirant 400 personnes, dont des célébrités, ont rapporté les médias nationaux. Des photographies de la réception diffusées à la télévision montrent une «princesse» dans un kimono sophistiqué à plusieurs couches, du type de ceux portés uniquement par les mariées de la famille impériale, et le «prince» arborant lui aussi un kimono royal. Le couple a nié avoir cherché à faire croire que Kitano était un membre de la branche Arisugawa, maintenant éteinte, de la famille impériale. Dans les mariages japonais, la coutume veut que les invités donnent de l'argent en guise de cadeau. Dans ce cas, ils ont aussi payé 10 000 yens (78 euros) pour chaque photo prise avec l'heureux couple.