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Cela s'est passe un jour/ Aventures, drames et passions célèbres
Le phénomène de Rosenheim (6e partie et fin)
Publié dans Info Soir le 27 - 05 - 2007

Résumé de la 5e partie n Des physiciens, F. Karger et G. Zicha, soumettent à l'épreuve d'instruments perfectionnés le «phénomène de Rosenheim»… Ils ont beau chercher des causes objectives pour l'expliquer, ils n'y parviennent pas.
Comme les phénomènes continuent à se produire en présence de la jeune secrétaire, on lui demanda si elle acceptait de se soumettre à des tests. La jeune femme, qui voulait aider son patron à résoudre ses problèmes, accepta. C'est ainsi qu'on remarqua qu'au moment des «incidents», elle est en proie à des crises d'hypertension, comme si elle faisait preuve d'efforts gigantesques.
D'autres examens révèlent chez la jeune femme des spasmes musculaires, comme ceux qui se manifestent lors des crises d'hystérie. Au cours d'une séance, elle fixe un classeur métallique de cent soixante-quinze kilos qui se met alors à bouger et s'écarte de trente centimètres du mur. Des tiroirs, lourdement chargés, s'ouvrent et se referment tout seuls. On éloigne la jeune femme du cabinet et les phénomènes cessent aussitôt.
En revanche, ils se manifestent, en sa présence, ailleurs. C'est ainsi qu'un jour, en sortant de son travail, elle se rend à un bowling dont le responsable n'est autre que son fiancé. Dès qu'elle arrive sur les lieux, des ampoules éclatent et le dispositif d'enregistrement est détraqué.
«C'est elle qui provoque ces incidents !»
Evidemment, tout le monde connaît la jeune femme et les soupçons qui pèsent sur elle : il devient donc facile de l'accuser. Le fiancé accourt et lui demande, affolé, de quitter les lieux. Le jour même, il lui signifie sa décision de rompre leurs fiançailles. La jeune femme est si dépitée qu'elle tombe malade. Elle doit donc prendre un congé.
Au cabinet de l'avocat, tout est redevenu normal : plus de disjoncteur qui saute ni d'ampoule qui explose.
Evidemment, on établit un rapport avec la jeune femme, mais personne ne songe à demander son renvoi, même pas le patron du cabinet, Me Adams qui, pourtant, souffre beaucoup de ces phénomènes anormaux.
Anne-Marie S. revient et, comme chacun le redoutait, les incidents reprennent. Ils vont même culminer du 5 au 17 janvier 1968. La jeune femme comprend d'elle- même qu'elle ne peut plus rester au cabinet. Elle dépose donc sa démission et celle-ci est acceptée avec empressement par Me Adams. Anne-Marie est elle-même soulagée et se dit qu'elle va enfin reprendre une vie normale. Mais la malchance la poursuit : des incidents se produisent chez elle, puis à son nouveau travail, mais heureusement, ils s'estompent très vite et finissent par disparaître. Enfin, tout rentre dans l'ordre.
Anne-Marie S., dont le cas a été minutieusement étudié par des spécialistes, fait partie des sujets parapsychologiques doués, capables, par on ne sait quelle force mentale, d'exercer une influence sur les objets en les soulevant ou en les détruisant. Des cas pareils ont été signalés dans la littérature parapsychologique, mais c'est la première fois où on a relevé une corrélation avec l'électricité.
Les amateurs de science-fiction ont parlé d'une force intelligente, possédant de hautes connaissances techniques et qui pourrait un jour, comme dans la nouvelle de Sturgeon, Killdozer, s'emparer des machines créées par l'homme et les diriger contre l'homme.


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